Quel pourcentage des inventaires iOS est désormais « consent less » ?
SR - Tout dépend des régions et des verticales mais d’après le dernier dashboard Appsflyer, le taux de consentement global ATT est de 46%.
En France, ce taux monte même à 59% d’opt’in ce qui encourage nos clients à adopter sereinement la pop-up de consentement d’Apple.
Pour les inventaires sans opt’in, quelles sont les données néanmoins récupérées ?
Pour les inventaires sans opt'in, Apple propose une solution baptisée SK Adnetwork qui permet d'attribuer l'ensemble du traffic IOS 14.5+ et ce avec ou sans opt-in.
Cette solution présente des données agrégées des campagnes et créas publicitaires.
AppsFlyer a développé une solution simple propre à SKAN permettant de configurer le report des évènements post-installations via le Conversion Studio associant report des conversions post installation et revenu générés par les installations issues de campagnes d'acquisition.
Bascule t-on d’un suivi individuel à un suivi « collectif » sous forme de cohortes ?
SR - Oui effectivement, SKaD ne permet plus un suivi individuel mais propose une approche par « cohorte ».
Pour les annonceurs, ces données agrégées peuvent néanmoins être complétées des données individuelles, collectées sur les inventaires avec Opt’in.
Et Appsflyer a développé des outils d’analyse prédictive, permettant d’extrapoler les performances d’une campagne au delà de la fenêtre des 72 heures.
Peut on faire un parallèle avec les réflexions de Google avec FLOC pour la privacy sandbox ?
SR - Je ne suis pas une spécialiste de la privacy sandbox mais je pense qu’on peut effectivement faire un parallèle avec FLOC.
Pour ses annonceurs, Facebook devrait également s’engager dans cette approche, consistant à fournir des données agrégées, et non individuelles, aux annonceurs.
SKaD démontre en tout cas que l’on peut faire de la publicité « consent less », dans un environnement in-App comme iOS.
Ce système a t’il également vocation à être décliné au sein des applications Android ?
SR - Il faudrait poser la question à Google mais il y aura sans doute une rationalisation des pratiques publicitaires, avec un consentement pour accéder à de la donnée individuelle, et des solutions « consent less » reposant sur des cohortes et des données agrégées.
Et quelles que soient les technologies déployées, Appsflyer proposera en tout cas aux annonceurs des solutions pour mesurer l’efficacité de leurs campagnes et le comportements des mobinautes au sein des applications.
SR - Tout dépend des régions et des verticales mais d’après le dernier dashboard Appsflyer, le taux de consentement global ATT est de 46%.
En France, ce taux monte même à 59% d’opt’in ce qui encourage nos clients à adopter sereinement la pop-up de consentement d’Apple.
Pour les inventaires sans opt’in, quelles sont les données néanmoins récupérées ?
Pour les inventaires sans opt'in, Apple propose une solution baptisée SK Adnetwork qui permet d'attribuer l'ensemble du traffic IOS 14.5+ et ce avec ou sans opt-in.
Cette solution présente des données agrégées des campagnes et créas publicitaires.
AppsFlyer a développé une solution simple propre à SKAN permettant de configurer le report des évènements post-installations via le Conversion Studio associant report des conversions post installation et revenu générés par les installations issues de campagnes d'acquisition.
Bascule t-on d’un suivi individuel à un suivi « collectif » sous forme de cohortes ?
SR - Oui effectivement, SKaD ne permet plus un suivi individuel mais propose une approche par « cohorte ».
Pour les annonceurs, ces données agrégées peuvent néanmoins être complétées des données individuelles, collectées sur les inventaires avec Opt’in.
Et Appsflyer a développé des outils d’analyse prédictive, permettant d’extrapoler les performances d’une campagne au delà de la fenêtre des 72 heures.
Peut on faire un parallèle avec les réflexions de Google avec FLOC pour la privacy sandbox ?
SR - Je ne suis pas une spécialiste de la privacy sandbox mais je pense qu’on peut effectivement faire un parallèle avec FLOC.
Pour ses annonceurs, Facebook devrait également s’engager dans cette approche, consistant à fournir des données agrégées, et non individuelles, aux annonceurs.
SKaD démontre en tout cas que l’on peut faire de la publicité « consent less », dans un environnement in-App comme iOS.
Ce système a t’il également vocation à être décliné au sein des applications Android ?
SR - Il faudrait poser la question à Google mais il y aura sans doute une rationalisation des pratiques publicitaires, avec un consentement pour accéder à de la donnée individuelle, et des solutions « consent less » reposant sur des cohortes et des données agrégées.
Et quelles que soient les technologies déployées, Appsflyer proposera en tout cas aux annonceurs des solutions pour mesurer l’efficacité de leurs campagnes et le comportements des mobinautes au sein des applications.