Grosse rentrée pour Huawei. Quelques semaines après avoir dévoilé un processeur gravé en 7 nm puis annoncé une technologie plus performante que le Bluetooth, l’équipementier chinois pourrait également faire un « come back » dans l’univers des antennes 5G.
Accusé par Donald Trump de servir de cheval de troie aux services de renseignement chinois, les équipements 5G de Huawei avaient progressivement été bannis de la majorité des pays occidentaux, en Europe comme en Amérique du Nord.
Si cette décision avait fait le jeu d’équipementiers européens comme Nokia ou Ericsson, elle avait néanmoins perturbé plusieurs opérateurs, qui avaient choisi les équipements Huawei pour leur réseau 5G.
Et selon un article d’Emmanuel Paquette dans l’Informé, la France pourrait finalement à nouveau autoriser les équipements Huawei, suite à des échanges entre Emmanuel Macron et Xi Jinping, le président chinois.
Une décision française qui dénote avec le durcissement allemand sur ce même dossier, mais qui permet en tout cas de démontrer la résilience de Huawei sur un marché des télécoms en pleine recomposition.
Accusé par Donald Trump de servir de cheval de troie aux services de renseignement chinois, les équipements 5G de Huawei avaient progressivement été bannis de la majorité des pays occidentaux, en Europe comme en Amérique du Nord.
Si cette décision avait fait le jeu d’équipementiers européens comme Nokia ou Ericsson, elle avait néanmoins perturbé plusieurs opérateurs, qui avaient choisi les équipements Huawei pour leur réseau 5G.
Et selon un article d’Emmanuel Paquette dans l’Informé, la France pourrait finalement à nouveau autoriser les équipements Huawei, suite à des échanges entre Emmanuel Macron et Xi Jinping, le président chinois.
« Paris a changé de position au sujet de l’équipementier télécoms chinois soupçonné d’espionnage : SFR et Bouygues Telecom pourront conserver certaines antennes 5G après 2028. » indique le journal.
Une décision française qui dénote avec le durcissement allemand sur ce même dossier, mais qui permet en tout cas de démontrer la résilience de Huawei sur un marché des télécoms en pleine recomposition.