Après une série de transactions à travers ses filiales, le géant russe de l'énergie, Gazprom, a obtenu 50 % des droits de vote de VK (VKontakte) – le « Facebook russe ».
Gazprom étant une entreprise publique russe, cette prise de contrôle fait, selon de nombreux analystes, de VK, une entreprise d'état, sous le contrôle indirect du Kremlin.
Fondé en 2006, par les frères Durov, désormais aux commandes de la messagerie Telegram, VK est incontournable dans l'internet russe, avec plus de 47 millions d'utilisateurs quotidiens.
Avec plusieurs stations de télévision et de radio, Gazprom Media accélère ainsi sa transition digitale, en s'offrant un des rares champions européens de l'internet à avoir tenu tête aux grands groupes américains ou chinois.
Gazprom étant une entreprise publique russe, cette prise de contrôle fait, selon de nombreux analystes, de VK, une entreprise d'état, sous le contrôle indirect du Kremlin.
Fondé en 2006, par les frères Durov, désormais aux commandes de la messagerie Telegram, VK est incontournable dans l'internet russe, avec plus de 47 millions d'utilisateurs quotidiens.
Avec plusieurs stations de télévision et de radio, Gazprom Media accélère ainsi sa transition digitale, en s'offrant un des rares champions européens de l'internet à avoir tenu tête aux grands groupes américains ou chinois.