WellPack publie son tout premier baromètre consacré à la performance du Drive to Store via SMS marketing, en analysant un indicateur trop souvent négligé : le Coût Par Visite (CPV). Dans un contexte où 82,5 % du chiffre d’affaires du commerce en France reste généré en points de vente physiques, les campagnes SMS apparaissent comme un levier clé pour dynamiser le trafic en magasin.
Le SMS/RCS marketing s’impose aujourd’hui comme un outil incontournable pour les enseignes de proximité, qui souhaitent générer du trafic qualifié à l’aide de messages personnalisés et géolocalisés. Ce canal, à la fois direct et performant, permet de booster le parcours d’achat tout en créant un lien concret avec le consommateur.
Dans ce baromètre, WellPack – leader français des campagnes mobiles locales – a étudié cinq secteurs particulièrement friands du SMS marketing : la grande distribution alimentaire, les commerces alimentaires spécialisés, les enseignes de bricolage, les animaleries et jardineries, ainsi que les bijouteries et horlogeries. L’objectif est clair : évaluer la rentabilité réelle de ce canal à travers le Coût Par Visite, un indicateur plus pertinent que le simple taux de clics.
L’étude révèle que le CPV varie selon la typologie du commerce, sans remettre en cause l’efficacité globale du canal. Les commerces alimentaires, répondant à un besoin régulier, affichent les CPV les plus bas. À l’inverse, les secteurs comme le bricolage ou la bijouterie, aux cycles d’achat plus longs, montrent des CPV plus élevés mais toujours rentables.
Le SMS/RCS marketing s’impose aujourd’hui comme un outil incontournable pour les enseignes de proximité, qui souhaitent générer du trafic qualifié à l’aide de messages personnalisés et géolocalisés. Ce canal, à la fois direct et performant, permet de booster le parcours d’achat tout en créant un lien concret avec le consommateur.
Dans ce baromètre, WellPack – leader français des campagnes mobiles locales – a étudié cinq secteurs particulièrement friands du SMS marketing : la grande distribution alimentaire, les commerces alimentaires spécialisés, les enseignes de bricolage, les animaleries et jardineries, ainsi que les bijouteries et horlogeries. L’objectif est clair : évaluer la rentabilité réelle de ce canal à travers le Coût Par Visite, un indicateur plus pertinent que le simple taux de clics.
L’étude révèle que le CPV varie selon la typologie du commerce, sans remettre en cause l’efficacité globale du canal. Les commerces alimentaires, répondant à un besoin régulier, affichent les CPV les plus bas. À l’inverse, les secteurs comme le bricolage ou la bijouterie, aux cycles d’achat plus longs, montrent des CPV plus élevés mais toujours rentables.
Selon Nicolas Ruchon, Directeur Conseil chez WellPack, « les clics, c’est bien, mais rien ne vaut une visite en magasin ». Il souligne que le CPV permet de mesurer l’impact réel d’une campagne sur le terrain, en croisant le nombre de visites générées, le taux de conversion et le panier moyen pour estimer le chiffre d’affaires attribuable.
WellPack va plus loin avec une approche incrémentale : en comparant les visites entre un groupe exposé à la campagne SMS et un groupe témoin non ciblé, il devient possible de mesurer précisément l’effet net du SMS par rapport à d’autres leviers comme le DOOH, les réseaux sociaux ou l’emailing. Cette méthode offre une vision affinée de la performance et du retour sur investissement.