Quel est le métier de Partoo ? Accompagner les magasins dans leur « référencement local » ?
TR - Le rôle de Partoo est d’accompagner les magasins à accroître leur visibilité en ligne et leur e-réputation grâce au digital.
On est devenu en quelques années le leader français de la présence en ligne et de la gestion d’avis en point de vente. Nos équipes sont composées de 160 personnes dans nos bureaux à Paris, Barcelone, São Paulo, Mexico et Mumbai.
Notre solution s’appuie sur 2 axes principaux :
- La présence en ligne : on diffuse automatiquement les informations des commerces sur une dizaine de plateformes et GPS comme Google Maps, Facebook, Waze ou Apple Plans.
- La relation client : la plateforme permet de collecter, centraliser, analyser et répondre aux messages et avis clients déposés en ligne.
Partoo aide aujourd’hui plus de 150 000 établissements à “aller se faire voir” sur internet dans plus de 100 pays, tels que :
- Les grands groupes : Carrefour, Leroy Merlin, Starbucks, Toyota, BNP Paribas, Generali, Ramsay Santé
- Les établissements indépendants : boulangeries, salons de coiffure, pharmacies, artisans
- Le secteur public comme la Gendarmerie nationale
Avec la crise du covid, toutes les entreprises ont-elles désormais ce réflexe ?
TR -La crise du Covid a en effet permis aux entreprises de réaliser l’importance du référencement local.
Du jour au lendemain, il leur a fallu mettre en place une stratégie digitale de crise pour communiquer des informations correctes aux consommateurs. Par exemple indiquer des fermetures temporaires, des changements d’horaires, ou tout simplement utiliser des “Google Posts” pour rassurer les clients sur les conditions sanitaires en magasin.
Depuis le début de la crise, notre nombre de demandes entrantes a explosé en particulier de la part de grands groupes français en banque, retail et automobile.
Avec Search, Maps ou Waze, Google est désormais incontournable ?
TR - Avec 92% des recherches faites sur Google, nous pouvons clairement dire qu’ils sont incontournables.
Via la tendance “no click search”, les fiches Google My Business sont devenues les nouvelles vitrines digitales des établissements. Au-delà des informations pratiques comme l’adresse ou les horaires, on peut désormais en quelques clics réserver une table ou faire une demande de devis.
Mais la puissance du référencement local va au-delà de Google. Il faut penser multi-plateforme et asseoir sa présence sur les sites importants pour les internautes : moteurs de recherche bien sûr, mais aussi les réseaux sociaux comme Facebook & Instagram, les annuaires en ligne et les GPS comme Apple Plans. On remarque que 7 fois plus de contacts sont générés grâce à ces plateformes que les propres sites web des enseignes. C’est énorme !
Au delà du « search », observez vous de nouveaux usages conversationnels entre les marques et les consommateurs ?
TR -Tout à fait, depuis quelques années, nous voyons s’imposer la tendance du “conversational commerce” qui permet aux utilisateurs de contacter les marques et enseignes par message : Google Message, Facebook Messenger, Whatsapp, Instagram. Une étude Google le prouve, 67% des internautes préfèrent échanger par messages instantanés que par téléphone avec un établissement.
Au-delà de la simple “relation client”, l’intérêt est d’accompagner le consommateur sur l’intégralité de son parcours d’achat. De la prise d’information jusqu’à la commande du produit. En évitant les allers-retours entre l’application de messagerie et le site web des enseignes, ces nouvelles pratiques facilitent l’expérience client.
Avec les notes, les avis, sommes-nous du coup plus proches du SEO ou du community management ?
TR - Les 2 sont étroitement liés. La réputation locale est une partie intégrante du Community Management ! Facebook qui était un outil de gestion de communautés a intégré les avis dans sa stratégie locale en créan un moteur de recherche local avec des notions de SEO.
Parallèlement, les avis Google, les Local Guides ou encore les Google Posts font du moteur de recherche de Google, un vrai réseau social. Gérer sa réputation locale c’est finalement veiller à la satisfaction de sa communauté : c’est donc un élément clé du Community Management avec un aspect one-to-one proche de la relation client.
Dans tous les cas, il existe un enjeu SEO extrêmement fort depuis le boom des avis constatés depuis 2016. Google valorise les magasins avec la meilleure note, le plus grand nombre d’avis, la fréquence des avis déposés, et les réponses données. Plus ces critères sont bons, plus vous avez de chance d’apparaître dans le Top 3 des résultats Google, dit le Local Pack.
En dehors de l’outil myBusiness de Google, comment les magasins peuvent analyser efficacement l’origine de leur trafic ?
TR - Google my Business est en effet la première source de trafic en point de vente et il est important d’avoir une vision globale de certains KPIs visibles au sein de Partoo de manière agrégée et historisée :
- L’origine du trafic : recherche directe (ex : magasin Leroy Merlin Rosa Parks Paris 19e), recherche marque (ex : magasin Leroy Merlin Paris), et recherche découverte (ex : magasin de bricolage Paris)
- L’évolution de l’apparition de leurs fiches sur Google et Google Maps
- L’évolution des clics sur les 3 Call To Action : Site Web, Appels Téléphoniques et Demandes d’itinéraires
Les magasins peuvent aussi taguer leur site web via Google Analytics, analyser leurs statistiques Facebook ou média Waze s’ils font de l’ads.
Il peut être intéressant de demander à ses clients comment ils ont connu le point de vente en question : sont ils des clients historiques ? des nouveaux clients qui ont connu le point de vente par du bouche à oreille ? par des médias payants ? ou via Google et les avis ?
En savoir plus ? www.partoo.co
TR - Le rôle de Partoo est d’accompagner les magasins à accroître leur visibilité en ligne et leur e-réputation grâce au digital.
On est devenu en quelques années le leader français de la présence en ligne et de la gestion d’avis en point de vente. Nos équipes sont composées de 160 personnes dans nos bureaux à Paris, Barcelone, São Paulo, Mexico et Mumbai.
Notre solution s’appuie sur 2 axes principaux :
- La présence en ligne : on diffuse automatiquement les informations des commerces sur une dizaine de plateformes et GPS comme Google Maps, Facebook, Waze ou Apple Plans.
- La relation client : la plateforme permet de collecter, centraliser, analyser et répondre aux messages et avis clients déposés en ligne.
Partoo aide aujourd’hui plus de 150 000 établissements à “aller se faire voir” sur internet dans plus de 100 pays, tels que :
- Les grands groupes : Carrefour, Leroy Merlin, Starbucks, Toyota, BNP Paribas, Generali, Ramsay Santé
- Les établissements indépendants : boulangeries, salons de coiffure, pharmacies, artisans
- Le secteur public comme la Gendarmerie nationale
Avec la crise du covid, toutes les entreprises ont-elles désormais ce réflexe ?
TR -La crise du Covid a en effet permis aux entreprises de réaliser l’importance du référencement local.
Du jour au lendemain, il leur a fallu mettre en place une stratégie digitale de crise pour communiquer des informations correctes aux consommateurs. Par exemple indiquer des fermetures temporaires, des changements d’horaires, ou tout simplement utiliser des “Google Posts” pour rassurer les clients sur les conditions sanitaires en magasin.
Depuis le début de la crise, notre nombre de demandes entrantes a explosé en particulier de la part de grands groupes français en banque, retail et automobile.
Avec Search, Maps ou Waze, Google est désormais incontournable ?
TR - Avec 92% des recherches faites sur Google, nous pouvons clairement dire qu’ils sont incontournables.
Via la tendance “no click search”, les fiches Google My Business sont devenues les nouvelles vitrines digitales des établissements. Au-delà des informations pratiques comme l’adresse ou les horaires, on peut désormais en quelques clics réserver une table ou faire une demande de devis.
Mais la puissance du référencement local va au-delà de Google. Il faut penser multi-plateforme et asseoir sa présence sur les sites importants pour les internautes : moteurs de recherche bien sûr, mais aussi les réseaux sociaux comme Facebook & Instagram, les annuaires en ligne et les GPS comme Apple Plans. On remarque que 7 fois plus de contacts sont générés grâce à ces plateformes que les propres sites web des enseignes. C’est énorme !
Au delà du « search », observez vous de nouveaux usages conversationnels entre les marques et les consommateurs ?
TR -Tout à fait, depuis quelques années, nous voyons s’imposer la tendance du “conversational commerce” qui permet aux utilisateurs de contacter les marques et enseignes par message : Google Message, Facebook Messenger, Whatsapp, Instagram. Une étude Google le prouve, 67% des internautes préfèrent échanger par messages instantanés que par téléphone avec un établissement.
Au-delà de la simple “relation client”, l’intérêt est d’accompagner le consommateur sur l’intégralité de son parcours d’achat. De la prise d’information jusqu’à la commande du produit. En évitant les allers-retours entre l’application de messagerie et le site web des enseignes, ces nouvelles pratiques facilitent l’expérience client.
Avec les notes, les avis, sommes-nous du coup plus proches du SEO ou du community management ?
TR - Les 2 sont étroitement liés. La réputation locale est une partie intégrante du Community Management ! Facebook qui était un outil de gestion de communautés a intégré les avis dans sa stratégie locale en créan un moteur de recherche local avec des notions de SEO.
Parallèlement, les avis Google, les Local Guides ou encore les Google Posts font du moteur de recherche de Google, un vrai réseau social. Gérer sa réputation locale c’est finalement veiller à la satisfaction de sa communauté : c’est donc un élément clé du Community Management avec un aspect one-to-one proche de la relation client.
Dans tous les cas, il existe un enjeu SEO extrêmement fort depuis le boom des avis constatés depuis 2016. Google valorise les magasins avec la meilleure note, le plus grand nombre d’avis, la fréquence des avis déposés, et les réponses données. Plus ces critères sont bons, plus vous avez de chance d’apparaître dans le Top 3 des résultats Google, dit le Local Pack.
En dehors de l’outil myBusiness de Google, comment les magasins peuvent analyser efficacement l’origine de leur trafic ?
TR - Google my Business est en effet la première source de trafic en point de vente et il est important d’avoir une vision globale de certains KPIs visibles au sein de Partoo de manière agrégée et historisée :
- L’origine du trafic : recherche directe (ex : magasin Leroy Merlin Rosa Parks Paris 19e), recherche marque (ex : magasin Leroy Merlin Paris), et recherche découverte (ex : magasin de bricolage Paris)
- L’évolution de l’apparition de leurs fiches sur Google et Google Maps
- L’évolution des clics sur les 3 Call To Action : Site Web, Appels Téléphoniques et Demandes d’itinéraires
Les magasins peuvent aussi taguer leur site web via Google Analytics, analyser leurs statistiques Facebook ou média Waze s’ils font de l’ads.
Il peut être intéressant de demander à ses clients comment ils ont connu le point de vente en question : sont ils des clients historiques ? des nouveaux clients qui ont connu le point de vente par du bouche à oreille ? par des médias payants ? ou via Google et les avis ?
En savoir plus ? www.partoo.co