Le marché du native advertising est en pleine concentration. Quel impact pour ADUX ?
RR - Cette concentration offre plus de visibilité sur le marché aux offres de native advertising que nous appelons « in-content advertising » chez Quantum, notre filiale présente en France et en Europe.
Aujourd’hui, les annonceurs veulent avant tout être en haut de page ou au cœur du contenu, et disposer d’un interlocuteur capable de répondre à l’ensemble de leurs problématiques de branding et de performance avec des annonces visibles.
Avec le mobile, faut-il faire évoluer les formats natifs ?
RR - Nous observons depuis plusieurs années le succès des formats sociaux. Nous avons ainsi décidé de créer Adstory, un nouveau format créatif s’inspirant des stories Instagram ou Snapchat.
Avec Adstory, les annonceurs peuvent ré-exploiter les assets investis dans les réseaux sociaux sur des environnements médias et notamment ceux de nos partenaires certifiés Digital Ad Trust.
Ce format rencontre un grand succès : ces derniers mois, nous avons diffusé plusieurs dizaines de campagnes à travers l’Europe. Nous avons pour objectif d’en réaliser près de cent d’ici la fin de l’année. Nous sommes en effet persuadés que la story va devenir un nouveau standard publicitaire sur mobile.
Les annonceurs et les agences sont-ils réellement devenus « mobile first » ?
RR – C’est peut être une question générationnelle, mais notre conviction reste qu’il faut adapter les créations publicitaires à l’écran mobile. Il faut opter pour de nouvelles écritures basées sur les nouveaux usages tels que la gamification, afin de se réinventer sans cesse et sortir des standards en place.
Notre groupe dispose non seulement de ses propres actifs technologiques mais également d’un studio créatif dédié à l’accompagnement des annonceurs et des agences pour proposer des formats natifs visibles et efficaces.
Dans un marché publicitaire en constante évolution, ceci est un élément de différenciation fort pour notre groupe.
RR - Cette concentration offre plus de visibilité sur le marché aux offres de native advertising que nous appelons « in-content advertising » chez Quantum, notre filiale présente en France et en Europe.
Aujourd’hui, les annonceurs veulent avant tout être en haut de page ou au cœur du contenu, et disposer d’un interlocuteur capable de répondre à l’ensemble de leurs problématiques de branding et de performance avec des annonces visibles.
Avec le mobile, faut-il faire évoluer les formats natifs ?
RR - Nous observons depuis plusieurs années le succès des formats sociaux. Nous avons ainsi décidé de créer Adstory, un nouveau format créatif s’inspirant des stories Instagram ou Snapchat.
Avec Adstory, les annonceurs peuvent ré-exploiter les assets investis dans les réseaux sociaux sur des environnements médias et notamment ceux de nos partenaires certifiés Digital Ad Trust.
Ce format rencontre un grand succès : ces derniers mois, nous avons diffusé plusieurs dizaines de campagnes à travers l’Europe. Nous avons pour objectif d’en réaliser près de cent d’ici la fin de l’année. Nous sommes en effet persuadés que la story va devenir un nouveau standard publicitaire sur mobile.
Les annonceurs et les agences sont-ils réellement devenus « mobile first » ?
RR – C’est peut être une question générationnelle, mais notre conviction reste qu’il faut adapter les créations publicitaires à l’écran mobile. Il faut opter pour de nouvelles écritures basées sur les nouveaux usages tels que la gamification, afin de se réinventer sans cesse et sortir des standards en place.
Notre groupe dispose non seulement de ses propres actifs technologiques mais également d’un studio créatif dédié à l’accompagnement des annonceurs et des agences pour proposer des formats natifs visibles et efficaces.
Dans un marché publicitaire en constante évolution, ceci est un élément de différenciation fort pour notre groupe.