Dans une déclaration conjointe le 21 avril, les dirigeants de toutes les polices nationales européennes expriment leur désaccord avec le chiffrement de bout en bout des applications de messagerie instantanée. Europol affirme que cette méthode de protection des messages compromet la collaboration entre les autorités et les entreprises technologiques lors d'enquêtes criminelles.
Europol souligne que deux capacités technologiques sont essentielles pour assurer la sécurité publique : l'accès légal aux données numériques et l'identification proactive des menaces par les fournisseurs de plateformes en ligne.
Cette tendance est clairement observée avec l'intégration du chiffrement de bout en bout dans les principaux services de messagerie. Google a activé cette fonctionnalité par défaut pour les conversations RCS dans Google Messages sur Android l'année dernière.
De son côté, Apple a renforcé le protocole d'iMessage et a étendu cette protection aux sauvegardes des messages, bien que cette fonctionnalité soit facultative grâce à la fonction de Protection avancée des données. Face à cette évolution, les autorités européennes se retrouvent confrontées à un dilemme majeur : comment concilier les impératifs de sécurité publique avec le respect de la vie privée des utilisateurs dans un environnement de plus en plus numérisé et sécurisé.
Europol souligne que deux capacités technologiques sont essentielles pour assurer la sécurité publique : l'accès légal aux données numériques et l'identification proactive des menaces par les fournisseurs de plateformes en ligne.
Cette tendance est clairement observée avec l'intégration du chiffrement de bout en bout dans les principaux services de messagerie. Google a activé cette fonctionnalité par défaut pour les conversations RCS dans Google Messages sur Android l'année dernière.
De son côté, Apple a renforcé le protocole d'iMessage et a étendu cette protection aux sauvegardes des messages, bien que cette fonctionnalité soit facultative grâce à la fonction de Protection avancée des données. Face à cette évolution, les autorités européennes se retrouvent confrontées à un dilemme majeur : comment concilier les impératifs de sécurité publique avec le respect de la vie privée des utilisateurs dans un environnement de plus en plus numérisé et sécurisé.