L’intelligence artificielle (IA) est devenue un outil incontournable dans le monde du travail, mais la France reste en retrait. Selon une étude réalisée par Jabra auprès de 1 800 décideurs et 4 200 employés dans plusieurs pays, seulement 18 % des travailleurs français utilisent l’IA dans leur quotidien professionnel, contre 27 % au niveau mondial. Malgré un intérêt croissant pour cette technologie – 77 % des décideurs français reconnaissent son potentiel –, beaucoup peinent encore à en exploiter les avantages.
L’étude révèle un paradoxe : 79 % des dirigeants français se disent mal préparés à intégrer l’IA dans leurs stratégies, bien qu’ils soient nombreux à y voir un levier d’amélioration du travail. En comparaison, leurs homologues internationaux semblent plus confiants et prêts à investir. En France, seules 32 % des entreprises prévoient d’allouer un budget spécifique à l’IA, bien en deçà de la moyenne mondiale (49 %).
En France, les dirigeants et employés expriment des préoccupations concernant l’impact de l’IA, notamment sur l’emploi. Néanmoins, 52 % des décideurs français estiment que l’IA pourrait améliorer la qualité du travail, bien que ce taux soit inférieur à la moyenne mondiale (63 %). Parmi les tâches susceptibles d’être automatisées grâce à l’IA, on retrouve l’analyse de données, la prise de notes ou encore la rédaction d’emails, ce qui pourrait libérer du temps pour des missions à forte valeur ajoutée.
Pour rattraper leur retard, les entreprises françaises doivent investir dans des solutions d’IA adaptées et accompagner leurs équipes avec des formations ciblées. 49 % des employés français déclarent avoir besoin d’un soutien pour tirer parti de cette technologie. Une stratégie claire et une vision concrète des bénéfices de l’IA sont essentielles pour lever les freins et encourager une adoption plus large.
En surmontant ces obstacles, l’IA peut devenir un véritable levier stratégique, permettant d’automatiser les tâches répétitives, d’augmenter la productivité et d’améliorer le bien-être des collaborateurs. Avec une transition bien orchestrée, elle pourrait renforcer la compétitivité des entreprises françaises tout en stimulant l’innovation et la créativité au travail.
L’étude révèle un paradoxe : 79 % des dirigeants français se disent mal préparés à intégrer l’IA dans leurs stratégies, bien qu’ils soient nombreux à y voir un levier d’amélioration du travail. En comparaison, leurs homologues internationaux semblent plus confiants et prêts à investir. En France, seules 32 % des entreprises prévoient d’allouer un budget spécifique à l’IA, bien en deçà de la moyenne mondiale (49 %).
En France, les dirigeants et employés expriment des préoccupations concernant l’impact de l’IA, notamment sur l’emploi. Néanmoins, 52 % des décideurs français estiment que l’IA pourrait améliorer la qualité du travail, bien que ce taux soit inférieur à la moyenne mondiale (63 %). Parmi les tâches susceptibles d’être automatisées grâce à l’IA, on retrouve l’analyse de données, la prise de notes ou encore la rédaction d’emails, ce qui pourrait libérer du temps pour des missions à forte valeur ajoutée.
Pour rattraper leur retard, les entreprises françaises doivent investir dans des solutions d’IA adaptées et accompagner leurs équipes avec des formations ciblées. 49 % des employés français déclarent avoir besoin d’un soutien pour tirer parti de cette technologie. Une stratégie claire et une vision concrète des bénéfices de l’IA sont essentielles pour lever les freins et encourager une adoption plus large.
En surmontant ces obstacles, l’IA peut devenir un véritable levier stratégique, permettant d’automatiser les tâches répétitives, d’augmenter la productivité et d’améliorer le bien-être des collaborateurs. Avec une transition bien orchestrée, elle pourrait renforcer la compétitivité des entreprises françaises tout en stimulant l’innovation et la créativité au travail.