La "presse" ne porte plus vraiment bien son nom. Selon la dernière étude de l'ACPM, la presse est désormais très majoritairement consultée sur des supports numériques.
Si le papier revendique plus de 8 millions d'exemplaires diffusés chaque jour, les supports numériques représentent pour leur part 71 millions de sessions, confirmant la dématérialisation massive de ce secteur économique.
Et selon l'ACPM, cette audience digitale est désormais très majoritairement "mobile first", avec 85% de l'audience sur smartphone, contre à peine 15% sur un ordinateur ou une tablette.
Si la majorité de l'audience mobile est réalisée au sein des applications, la presse française semble par contre avoir raté ce virage puisque les applications ne captent que 17% des audiences, contre plus de 65% pour le web mobile (dont AMP).
On notera d'ailleurs le déclin du format AMP puisque selon l'ACPM, cette audience recule de plus de 22% sur les douze derniers mois, pour représenter désormais 10% de l'audience des médias français.
Si le papier revendique plus de 8 millions d'exemplaires diffusés chaque jour, les supports numériques représentent pour leur part 71 millions de sessions, confirmant la dématérialisation massive de ce secteur économique.
Et selon l'ACPM, cette audience digitale est désormais très majoritairement "mobile first", avec 85% de l'audience sur smartphone, contre à peine 15% sur un ordinateur ou une tablette.
Si la majorité de l'audience mobile est réalisée au sein des applications, la presse française semble par contre avoir raté ce virage puisque les applications ne captent que 17% des audiences, contre plus de 65% pour le web mobile (dont AMP).
On notera d'ailleurs le déclin du format AMP puisque selon l'ACPM, cette audience recule de plus de 22% sur les douze derniers mois, pour représenter désormais 10% de l'audience des médias français.