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Apple a confirmé l’arrivée de sa fonctionnalité Apple Intelligence en français en avril 2025, après une première mise en service au sein de l’Union européenne avec la version 15.1 de macOS Sequoia. Cette avancée marque une étape importante dans la stratégie d’intelligence artificielle de la marque, qui prévoit un déploiement par phases selon les langues et les régions.
Selon les détails fournis par Apple, les pays anglophones comme l’Australie, le Canada, l’Irlande, la Nouvelle-Zélande, l’Afrique du Sud et le Royaume-Uni recevront Apple Intelligence dès décembre 2024, probablement via les versions « .2 » des systèmes d’exploitation. Le mois d’avril 2025 verra quant à lui l’arrivée de la fonctionnalité dans des langues supplémentaires, dont le français, le chinois, l’allemand, l’italien, le japonais, le coréen, le portugais, l’espagnol et le vietnamien.
Il est important de souligner qu’Apple mentionne l’ajout du français, mais sans préciser de pays spécifiques, comme la France. Cela laisse entendre que le français pourrait être disponible dans des pays francophones, notamment le Canada, sans garantir pour autant un déploiement direct au sein de l’Union européenne en avril.
Cette approche progressive d’Apple montre son ambition de rendre ses outils d’IA accessibles à un public mondial, tout en ajustant ses fonctionnalités aux particularités linguistiques et culturelles de chaque région.
Selon les détails fournis par Apple, les pays anglophones comme l’Australie, le Canada, l’Irlande, la Nouvelle-Zélande, l’Afrique du Sud et le Royaume-Uni recevront Apple Intelligence dès décembre 2024, probablement via les versions « .2 » des systèmes d’exploitation. Le mois d’avril 2025 verra quant à lui l’arrivée de la fonctionnalité dans des langues supplémentaires, dont le français, le chinois, l’allemand, l’italien, le japonais, le coréen, le portugais, l’espagnol et le vietnamien.
Il est important de souligner qu’Apple mentionne l’ajout du français, mais sans préciser de pays spécifiques, comme la France. Cela laisse entendre que le français pourrait être disponible dans des pays francophones, notamment le Canada, sans garantir pour autant un déploiement direct au sein de l’Union européenne en avril.
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