OpenAI, l'entreprise derrière le modèle de langage ChatGPT, vient de présenter Sora, son dernier modèle vidéo génératif qui peut transformer une brève description textuelle en une vidéo détaillée d'une durée maximale d'une minute. Cette annonce intervient peu de temps après la révélation par Google de son IA Gemini 1.5, marquant ainsi une compétition constante dans le domaine de l'intelligence artificielle.
Sora, qui tire son nom du mot japonais signifiant "ciel", représente un bond significatif dans la capacité des intelligences artificielles à créer des vidéos réalistes et détaillées en fonction de simples descriptions textuelles
OpenAI a partagé des extraits vidéo générés par Sora, démontrant la capacité impressionnante de cette intelligence artificielle à créer des scènes dynamiques et réalistes en réponse à des descriptions textuelles. Comparé à d'autres technologies existantes, Sora offre des résultats plus convaincants, bien que des défauts mineurs puissent parfois être observés, comme des anomalies de mouvement.
Actuellement en phase de développement, Sora n'est pas encore disponible pour le grand public. OpenAI a cependant donné accès à l'outil à certains universitaires et chercheurs, soumis à une évaluation rigoureuse pour comprendre les éventuels risques et abus de cette technologie émergente.
Sora, qui tire son nom du mot japonais signifiant "ciel", représente un bond significatif dans la capacité des intelligences artificielles à créer des vidéos réalistes et détaillées en fonction de simples descriptions textuelles
OpenAI a partagé des extraits vidéo générés par Sora, démontrant la capacité impressionnante de cette intelligence artificielle à créer des scènes dynamiques et réalistes en réponse à des descriptions textuelles. Comparé à d'autres technologies existantes, Sora offre des résultats plus convaincants, bien que des défauts mineurs puissent parfois être observés, comme des anomalies de mouvement.
Actuellement en phase de développement, Sora n'est pas encore disponible pour le grand public. OpenAI a cependant donné accès à l'outil à certains universitaires et chercheurs, soumis à une évaluation rigoureuse pour comprendre les éventuels risques et abus de cette technologie émergente.