L’échec des Echos avec leur édition e-paper ne signifie pas pour autant la fin du papier électronique. Amazon devrait par exemple commercialiser une nouvelle génération de son Kindle, toujours relié à un réseau cellulaire et permettant le téléchargement par les airs de livres électroniques. Selon un analystes de Citigroup, le Kindle 2 pourrait générer un chiffre d’affaires de 1,2 milliards de dollars à l’horizon 2010 et évidement réduire les coûts logistiques de ce géant de la VPC.
Pragmatique, Amazon s’intéresse toutefois également aux téléphones mobiles. Quelques années après le rachat du français Mobireader, le groupe a récemment lancé une application iPhone, également baptisée « Kindle » et permettant de télécharger près de 200 000 livrels à un prix unitaire de 10 dollars.
Avec près de 13 millions d’iPhones et plus de 100 millions de smartphones en circulation, l’avenir de l’édition électronique passera t’il par les téléphones ? La question sera en tout cas sur toutes les lèvres du Salon du Livre qui ouvre la semaine prochaine à Paris.
Pragmatique, Amazon s’intéresse toutefois également aux téléphones mobiles. Quelques années après le rachat du français Mobireader, le groupe a récemment lancé une application iPhone, également baptisée « Kindle » et permettant de télécharger près de 200 000 livrels à un prix unitaire de 10 dollars.
Avec près de 13 millions d’iPhones et plus de 100 millions de smartphones en circulation, l’avenir de l’édition électronique passera t’il par les téléphones ? La question sera en tout cas sur toutes les lèvres du Salon du Livre qui ouvre la semaine prochaine à Paris.