Le messaging, une nouvelle donne dans la messagerie ?
CP - Oui, le courrier électronique recule dans les communications entre particuliers au profit des applications de messaging comme le SMS, Messenger ou WhatsApp. Même ma mère, qui n’est pas technophile, utilise désormais WhatsApp.
Le défi pour les entreprises, c’est de rattraper les usages des consommateurs, et d’adopter ces nouveaux canaux, qui offrent un champs des possibles très large.
Leur usage ne se limite pas à la relation client ?
CP - Une bonne part des échanges, qui passaient par email ou call center, peut désormais se faire par messaging. C’est le premier usage mais le messaging offre un panel de fonctionnalités absolument gigantesque.
On peut également s’en servir pour du support client, de la communication, du marketing relationnel, de la promotion. On peut même aller jusqu’à commander un produit, sans repasser par le site web ou l’application.
J’ai tendance à penser qu’après l’écran de la boutique, ou celui du site web, le messaging est aujourd’hui le 3e écran pour les marques, et qu’il pourrait bien devenir très rapidement majoritaire.
Est-ce que la conversation améliore … la conversion ?
CP - Oui et elle améliore surtout l’engagement avec les consommateurs. Le messaging est très différent d’un canal monolithique comme le courrier électronique, qui envoie le même message à des milliers de personnes, sans susciter beaucoup de réactions.
Sur notre plate-forme, nous observons par exemple un vingtaine d’interactions par campagne envoyée, et un temps moyen de session de l’ordre de 2 minutes. Mais le messaging est également l’univers idéal pour viraliser une campagne. Près de 15% des personnes touchées repartagent un message avec leur réseau. Ce sont des chiffres très impressionnants si on les compare à d’autres canaux digitaux.
Les entreprises doivent-elles devenir « conversational first » ?
CP - La bonne nouvelle, c’est que tous les canaux sont ouverts aux entreprises : le SMS, Messenger, WhatsApp et désormais le RCS, qui est soutenu par Google.
L’autre bonne nouvelle c’est qu’il existe des plates-formes comme myElefant, qui permettent d’orchestrer ces canaux, de scénariser ses campagnes et de tracker les conversations avec les utilisateurs.
myElefant ne fournit d’ailleurs pas qu’une plate-forme technologique. Nos équipes sont également en mesure d’accompagner les entreprises dans la compréhension de l’univers du messaging, en concevant des campagnes avec le bon langage, afin de dialoguer efficacement avec leurs prospects et leurs clients.
CP - Oui, le courrier électronique recule dans les communications entre particuliers au profit des applications de messaging comme le SMS, Messenger ou WhatsApp. Même ma mère, qui n’est pas technophile, utilise désormais WhatsApp.
Le défi pour les entreprises, c’est de rattraper les usages des consommateurs, et d’adopter ces nouveaux canaux, qui offrent un champs des possibles très large.
Leur usage ne se limite pas à la relation client ?
CP - Une bonne part des échanges, qui passaient par email ou call center, peut désormais se faire par messaging. C’est le premier usage mais le messaging offre un panel de fonctionnalités absolument gigantesque.
On peut également s’en servir pour du support client, de la communication, du marketing relationnel, de la promotion. On peut même aller jusqu’à commander un produit, sans repasser par le site web ou l’application.
J’ai tendance à penser qu’après l’écran de la boutique, ou celui du site web, le messaging est aujourd’hui le 3e écran pour les marques, et qu’il pourrait bien devenir très rapidement majoritaire.
Est-ce que la conversation améliore … la conversion ?
CP - Oui et elle améliore surtout l’engagement avec les consommateurs. Le messaging est très différent d’un canal monolithique comme le courrier électronique, qui envoie le même message à des milliers de personnes, sans susciter beaucoup de réactions.
Sur notre plate-forme, nous observons par exemple un vingtaine d’interactions par campagne envoyée, et un temps moyen de session de l’ordre de 2 minutes. Mais le messaging est également l’univers idéal pour viraliser une campagne. Près de 15% des personnes touchées repartagent un message avec leur réseau. Ce sont des chiffres très impressionnants si on les compare à d’autres canaux digitaux.
Les entreprises doivent-elles devenir « conversational first » ?
CP - La bonne nouvelle, c’est que tous les canaux sont ouverts aux entreprises : le SMS, Messenger, WhatsApp et désormais le RCS, qui est soutenu par Google.
L’autre bonne nouvelle c’est qu’il existe des plates-formes comme myElefant, qui permettent d’orchestrer ces canaux, de scénariser ses campagnes et de tracker les conversations avec les utilisateurs.
myElefant ne fournit d’ailleurs pas qu’une plate-forme technologique. Nos équipes sont également en mesure d’accompagner les entreprises dans la compréhension de l’univers du messaging, en concevant des campagnes avec le bon langage, afin de dialoguer efficacement avec leurs prospects et leurs clients.