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Majoritaire en audience, que pèse le mobile dans la publicité digitale ? A l’occasion de la publication de son 29e baromètre de la publicité digitale, réalisé avec l’UDECAM et Oliver Wyman, le SRI a dévoilé quelques données sur le poids du mobile dans ce secteur…
Dans le domaine du « Search », le mobile pèse désormais 74% du segment soit 2,722 milliards d’euros. Dans le domaine du « social media », le mobile pèse 95% du segment soit 2,1 milliards d’euros.
Dans le domaine du display, c’est un peu plus compliqué mais les annexes du baromètre permettent d’agéger les 289 millions d’euros de l’instream mobile, les 62,9 millions de l’outstream mobile et les 355 millions des bannières mobiles pour arriver à un total de 706,9 millions d’euros, soit à peine 42% du marché du display.
Quand au dernier segment, celui des « autres canaux » (Emailing, affiliation, Comparateur), 100% des revenus sont traditionnellement affectés à l’ordinateur, mais ce calcul peut être contesté.
En additionnant les trois premiers sous-segments, le poids de la publicité mobile serait donc de 5,53 milliards d’euros en 2022, et pèserait ainsi 65% d’un marché évalué à 8,5 milliards d’euros.
Et sachant que le mobile pèse, selon Médiamétrie, 74% de l’audience en France, son poids pourrait être réévalué à 1,2 milliards dans le display et 666 millions d’euros pour les autres canaux, soit un nouveau total de …. 6,68 milliards d’euros. (78% de l’ensemble du marché de la publicité digitale).
Qu’il s’agisse de la fourchette basse, à 5,5 milliards d’euros, ou d’une fourchette haute, à 6,68 milliards d’euros, cet écran est en tout cas devenu le premier environnement publicitaire, loin, très loin devant la télévision, qui devrait capter un peu plus de la moitié des recettes mobiles, avec un chiffre d’affaires de l’ordre de 3,6 milliards d’euros. (Source BUMP 2022).
Une réalité « mobile first », déjà très tangible dans les usages des plus jeunes consommateurs, et qui préfigure une décennie difficile pour les grands groupes audiovisuels français.
Dans le domaine du « Search », le mobile pèse désormais 74% du segment soit 2,722 milliards d’euros. Dans le domaine du « social media », le mobile pèse 95% du segment soit 2,1 milliards d’euros.
Dans le domaine du display, c’est un peu plus compliqué mais les annexes du baromètre permettent d’agéger les 289 millions d’euros de l’instream mobile, les 62,9 millions de l’outstream mobile et les 355 millions des bannières mobiles pour arriver à un total de 706,9 millions d’euros, soit à peine 42% du marché du display.
Quand au dernier segment, celui des « autres canaux » (Emailing, affiliation, Comparateur), 100% des revenus sont traditionnellement affectés à l’ordinateur, mais ce calcul peut être contesté.
En additionnant les trois premiers sous-segments, le poids de la publicité mobile serait donc de 5,53 milliards d’euros en 2022, et pèserait ainsi 65% d’un marché évalué à 8,5 milliards d’euros.
Et sachant que le mobile pèse, selon Médiamétrie, 74% de l’audience en France, son poids pourrait être réévalué à 1,2 milliards dans le display et 666 millions d’euros pour les autres canaux, soit un nouveau total de …. 6,68 milliards d’euros. (78% de l’ensemble du marché de la publicité digitale).
Qu’il s’agisse de la fourchette basse, à 5,5 milliards d’euros, ou d’une fourchette haute, à 6,68 milliards d’euros, cet écran est en tout cas devenu le premier environnement publicitaire, loin, très loin devant la télévision, qui devrait capter un peu plus de la moitié des recettes mobiles, avec un chiffre d’affaires de l’ordre de 3,6 milliards d’euros. (Source BUMP 2022).
Une réalité « mobile first », déjà très tangible dans les usages des plus jeunes consommateurs, et qui préfigure une décennie difficile pour les grands groupes audiovisuels français.
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