Un nouveau départ pour la signature électronique ?
AT - La signature électronique existe depuis 20 ans mais elle bénéficie depuis 2016 d’un nouveau règlement européen, eIDAS, qui lui a accordé la même valeur légale que la signature manuscrite.
Ce règlement définit trois niveaux de signature électronique, un niveau standard, un niveau « avancé » et un niveau « qualifié », couvrant tous les besoins d’authentification ou de sécurisation des entreprises.
Spécialiste du commerce conversationnel et notamment du messaging, CM.com s’est logiquement lancé sur ce marché de la signature électronique, avec sa propre solution : SIGN.
SIGN, une tarification qui libère les usages ?
AT - SIGN est un offre CM.com qui s’intègre facilement avec nos différentes solutions de messaging, de paiement ou de relation client.
Et en matière de tarification, nous avons effectivement innové en proposant une facturation à la signature, et non à l’envoi, afin que nos clients n’engagent pas de dépense tant qu’ils n’ont pas la certitude d’un contrat.
L’autre innovation repose sur une licence par entreprise, et non pas salarié, qui permet par exemple un usage illimité de notre solution de signature électronique au sein d’une même PME.
Quels sont les cas d’usage ?
AT - Le premier cas d’usage de la signature électronique peut s’observer au sein d’une entreprise, qui doit recruter de nouveaux collaborateurs, mais dont les cadres dirigeants sont en déplacement ou en télétravail. Grâce à la signature électronique, on peut signer immédiatement un document administratif. Un intérimaire pourra par exemple enchaîner les missions, sans perdre trop de temps pour leur signature, même si les donneurs d’ordre sont à distance.
L’autre cas, c’est celui d’un contrat commercial entre une entreprise et ses clients. Nous travaillons avec des start-up de la food-tech, des neobanques ou des éditeurs de logiciels, dont les clients sont en ligne, et qui n’ont pas d’autre choix que de passer par la signature électronique pour un bon de commande.
Enfin, nous avons des cas d’usages hybrides, qui vont combiner un process interne à l’entreprise, avec par exemple la relecture d’un contrat par le PDG, puis une signature d’un commercial et bien sûr d’un client. L’expertise de CM.com dans le messaging permet de gérer tous ces cas, y compris les workflow les plus complexes.
Quel est le retour sur investissement de cette solution ?
AT - Le premier bénéfice de la signature électronique, c’est la dématérialisation. On n’utilise plus de papier ce qui est positif en terme financiers mais également environnementaux.
Le second bénéfice, c’est le gain de temps, avec des déplacements évités, des process raccourcis. On peut signer un contrat en 5 minutes mais nous estimons que le délais moyen passe de 15 jours à seulement 3 jours.
Le troisième bénéfice est la sécurité. Grâce à la signature avancée, on peut par exemple envoyer un code par SMS au seul PDG d’une entreprise, afin de s’assurer que personne d’autre ne lise ou ne signe le document. Ce type de précaution permet d’éviter bien des désagréments.
Avec un business model innovant, et une facturation qui n’excède pas 1 euro par signature, nous estimons que le ROI est non seulement très élevé, mais surtout qu’il est immédiat.
CM Sign, la solution pour le monde d’après ?
AT - Aujourd’hui, seules 25% des entreprises ont recours à la signature électronique. Mais avec le Covid-19, qui favorise les solutions « sans contact », avec la Generation Z, qui réclame des solutions mobiles et conversationnelles, et avec la crise, qui oblige de plus en plus d’entreprises à accélérer leur transformation digitale, nous pensons que 100% des entreprises devraient désormais s’équiper de solutions de signature électronique comme SIGN.
C’est en tout cas l’ambition de CM.com, qui offre une suite complète de solutions de commerce conversationnel, accessibles via le cloud ou sous forme d’API, et qui aident ses clients à se projeter dans le « monde d’après ».
Plus d'informations sur www.CM.com/fr
AT - La signature électronique existe depuis 20 ans mais elle bénéficie depuis 2016 d’un nouveau règlement européen, eIDAS, qui lui a accordé la même valeur légale que la signature manuscrite.
Ce règlement définit trois niveaux de signature électronique, un niveau standard, un niveau « avancé » et un niveau « qualifié », couvrant tous les besoins d’authentification ou de sécurisation des entreprises.
Spécialiste du commerce conversationnel et notamment du messaging, CM.com s’est logiquement lancé sur ce marché de la signature électronique, avec sa propre solution : SIGN.
SIGN, une tarification qui libère les usages ?
AT - SIGN est un offre CM.com qui s’intègre facilement avec nos différentes solutions de messaging, de paiement ou de relation client.
Et en matière de tarification, nous avons effectivement innové en proposant une facturation à la signature, et non à l’envoi, afin que nos clients n’engagent pas de dépense tant qu’ils n’ont pas la certitude d’un contrat.
L’autre innovation repose sur une licence par entreprise, et non pas salarié, qui permet par exemple un usage illimité de notre solution de signature électronique au sein d’une même PME.
Quels sont les cas d’usage ?
AT - Le premier cas d’usage de la signature électronique peut s’observer au sein d’une entreprise, qui doit recruter de nouveaux collaborateurs, mais dont les cadres dirigeants sont en déplacement ou en télétravail. Grâce à la signature électronique, on peut signer immédiatement un document administratif. Un intérimaire pourra par exemple enchaîner les missions, sans perdre trop de temps pour leur signature, même si les donneurs d’ordre sont à distance.
L’autre cas, c’est celui d’un contrat commercial entre une entreprise et ses clients. Nous travaillons avec des start-up de la food-tech, des neobanques ou des éditeurs de logiciels, dont les clients sont en ligne, et qui n’ont pas d’autre choix que de passer par la signature électronique pour un bon de commande.
Enfin, nous avons des cas d’usages hybrides, qui vont combiner un process interne à l’entreprise, avec par exemple la relecture d’un contrat par le PDG, puis une signature d’un commercial et bien sûr d’un client. L’expertise de CM.com dans le messaging permet de gérer tous ces cas, y compris les workflow les plus complexes.
Quel est le retour sur investissement de cette solution ?
AT - Le premier bénéfice de la signature électronique, c’est la dématérialisation. On n’utilise plus de papier ce qui est positif en terme financiers mais également environnementaux.
Le second bénéfice, c’est le gain de temps, avec des déplacements évités, des process raccourcis. On peut signer un contrat en 5 minutes mais nous estimons que le délais moyen passe de 15 jours à seulement 3 jours.
Le troisième bénéfice est la sécurité. Grâce à la signature avancée, on peut par exemple envoyer un code par SMS au seul PDG d’une entreprise, afin de s’assurer que personne d’autre ne lise ou ne signe le document. Ce type de précaution permet d’éviter bien des désagréments.
Avec un business model innovant, et une facturation qui n’excède pas 1 euro par signature, nous estimons que le ROI est non seulement très élevé, mais surtout qu’il est immédiat.
CM Sign, la solution pour le monde d’après ?
AT - Aujourd’hui, seules 25% des entreprises ont recours à la signature électronique. Mais avec le Covid-19, qui favorise les solutions « sans contact », avec la Generation Z, qui réclame des solutions mobiles et conversationnelles, et avec la crise, qui oblige de plus en plus d’entreprises à accélérer leur transformation digitale, nous pensons que 100% des entreprises devraient désormais s’équiper de solutions de signature électronique comme SIGN.
C’est en tout cas l’ambition de CM.com, qui offre une suite complète de solutions de commerce conversationnel, accessibles via le cloud ou sous forme d’API, et qui aident ses clients à se projeter dans le « monde d’après ».
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