Après le rachat de Symantec, Broadcomp poursuit son virage vers le logiciel en s’offrant VMware pour près de 61 milliards de dollars
Le tech Krach des dernières semaines n’a pas effrayé les actionnaires de Broadcom. Le groupe informatique américain, historiquement spécialisé dans les composants matériels, signe une nouvelle opération de croissance externe.
Broadcom vient en effet d’obtenir le feu vert des actionnaires de VMware, parmi lesquels Michael Dell, pour un rachat évalué à 61 milliards de dollars, et 8 milliards de reprise de dette.
Depuis le rachat de Symantec en 2019, pour près de 11 milliards de dollars, Broadcom a entamé un virage vers le logiciel, afin d’offrir des solutions informatiques clef en main aux entreprises, incluant composants, matériels et solutions cloud.
En milieu de journée jeudi, le cours de l’action Broadcom affichait une haisse de +2,19%, pour une valorisation boursière de 222 milliards de dollars.
Reste désormais à savoir si Broadcom fera mieux qu’Intel, également issu de l’univers des semi-conducteurs, qui avait racheté puis revendu Symantec, ou que le groupe Dell, qui avait également racheté puis revendu VMware, le champion de la virtualisation.
Le tech Krach des dernières semaines n’a pas effrayé les actionnaires de Broadcom. Le groupe informatique américain, historiquement spécialisé dans les composants matériels, signe une nouvelle opération de croissance externe.
Broadcom vient en effet d’obtenir le feu vert des actionnaires de VMware, parmi lesquels Michael Dell, pour un rachat évalué à 61 milliards de dollars, et 8 milliards de reprise de dette.
Depuis le rachat de Symantec en 2019, pour près de 11 milliards de dollars, Broadcom a entamé un virage vers le logiciel, afin d’offrir des solutions informatiques clef en main aux entreprises, incluant composants, matériels et solutions cloud.
En milieu de journée jeudi, le cours de l’action Broadcom affichait une haisse de +2,19%, pour une valorisation boursière de 222 milliards de dollars.
Reste désormais à savoir si Broadcom fera mieux qu’Intel, également issu de l’univers des semi-conducteurs, qui avait racheté puis revendu Symantec, ou que le groupe Dell, qui avait également racheté puis revendu VMware, le champion de la virtualisation.