Accueil
Rien ne résiste à Vincent Bolloré. Renouant avec son passé de "raider", le financier breton, désormais aux commandes du groupe Vivendi, a réussi son offre publique d'achat sur le spécialiste français du jeu vidéo mobile Gameloft.
Selon les premiers éléments publié par l'AFM, le groupe Vivendi détient désormais 61,71% du capital de l'éditeur mais surtout 55,61% des droits de vote, lui assurant tout pouvoir sur cette société jusqu'à présent contrôlée par la famille Guillemot (Ubisoft).
Pionnier des jeux vidéo pour téléphones mobiles, Gameloft pèse désormais plus de 700 millions d'euros en bourse. Son chiffre d'affaires atteint pour sa part près de 250 millions d'euros mais la société peine à renouer avec la profitabilité, avec un résultat négatif de près de 24 millions d'euros.
Quelques années après la cession d'Activision Blizzard mais également de SFR, Vivendi signe en tout cas son grand retour dans le jeu vidéo mais également dans le mobile. Reste à réaliser des synergies avec les autres activités du groupe (Universal, Canal+, etc...) et à constituer ce géant européen des contenus que souhaite construire Vincent Bolloré.
Selon les premiers éléments publié par l'AFM, le groupe Vivendi détient désormais 61,71% du capital de l'éditeur mais surtout 55,61% des droits de vote, lui assurant tout pouvoir sur cette société jusqu'à présent contrôlée par la famille Guillemot (Ubisoft).
Pionnier des jeux vidéo pour téléphones mobiles, Gameloft pèse désormais plus de 700 millions d'euros en bourse. Son chiffre d'affaires atteint pour sa part près de 250 millions d'euros mais la société peine à renouer avec la profitabilité, avec un résultat négatif de près de 24 millions d'euros.
Quelques années après la cession d'Activision Blizzard mais également de SFR, Vivendi signe en tout cas son grand retour dans le jeu vidéo mais également dans le mobile. Reste à réaliser des synergies avec les autres activités du groupe (Universal, Canal+, etc...) et à constituer ce géant européen des contenus que souhaite construire Vincent Bolloré.
Opt’in : plus besoin de consentement spécifique pour WhatsApp
