L'UNESCO, partenaire privilégié du G20 2025 sous la présidence de l’Afrique du Sud, jouera un rôle central dans les travaux des ministres des Finances et des Affaires étrangères, avec pour priorité l’intelligence artificielle (IA). Cette collaboration s’inscrit dans une vision commune d’une IA éthique au service des objectifs de développement durable.
L’Afrique, où 70 % de la population a moins de 30 ans, est un terrain prometteur pour l’IA, qui pourrait stimuler son économie à hauteur de 110 à 220 milliards de dollars par an. L’UNESCO, forte de son cadre éthique mondial adopté en 2021, accompagne déjà 60 États dans l’adaptation de leurs législations pour garantir une utilisation responsable de l’IA.
Cependant, des défis subsistent : seulement 40 % des Africains ont accès à l’internet haut débit, et ce chiffre tombe à 10 % dans les pays à revenu faible. En réponse, l’Union Africaine a élaboré une stratégie continentale pour l’IA, soutenue par l’UNESCO via des actions de formation pour les décideurs publics.
En 2024, sous la présidence du Brésil, l’UNESCO a activement contribué aux travaux du G20, participant à des initiatives comme l’intégrité de l’information sur le climat et le financement innovant pour l’éducation. Ces efforts se poursuivront en 2025, notamment au sein du groupe spécial sur l’IA et l’innovation pour le développement durable, mis en place par l’Afrique du Sud.
En renforçant son partenariat avec le G20, l'UNESCO réaffirme son engagement à promouvoir une intelligence artificielle responsable et accessible, capable de transformer positivement les sociétés et de relever les défis mondiaux.
L’Afrique, où 70 % de la population a moins de 30 ans, est un terrain prometteur pour l’IA, qui pourrait stimuler son économie à hauteur de 110 à 220 milliards de dollars par an. L’UNESCO, forte de son cadre éthique mondial adopté en 2021, accompagne déjà 60 États dans l’adaptation de leurs législations pour garantir une utilisation responsable de l’IA.
Cependant, des défis subsistent : seulement 40 % des Africains ont accès à l’internet haut débit, et ce chiffre tombe à 10 % dans les pays à revenu faible. En réponse, l’Union Africaine a élaboré une stratégie continentale pour l’IA, soutenue par l’UNESCO via des actions de formation pour les décideurs publics.
En 2024, sous la présidence du Brésil, l’UNESCO a activement contribué aux travaux du G20, participant à des initiatives comme l’intégrité de l’information sur le climat et le financement innovant pour l’éducation. Ces efforts se poursuivront en 2025, notamment au sein du groupe spécial sur l’IA et l’innovation pour le développement durable, mis en place par l’Afrique du Sud.
En renforçant son partenariat avec le G20, l'UNESCO réaffirme son engagement à promouvoir une intelligence artificielle responsable et accessible, capable de transformer positivement les sociétés et de relever les défis mondiaux.