La Commission européenne a récemment publié la liste des entreprises ayant signé le Pacte volontaire sur l'intelligence artificielle, une initiative visant à encourager les géants du secteur à se conformer à certaines exigences de l'AI Act avant son entrée en vigueur en 2026.
Parmi les signataires figurent des entreprises majeures comme Google, Microsoft, Amazon et IBM, mais des absents notables tels que Meta, Apple, Anthropic, et la startup française Mistral se sont fait remarquer. Le Pacte, initié en mars 2023, vise à servir d'étape intermédiaire avant l'application complète de l'AI Act.
Il incite les entreprises à adopter certaines mesures liées à la gouvernance éthique de l'IA et à identifier les usages de l'IA dans des secteurs à haut risque, comme l'éducation et le maintien de l'ordre. Les signataires peuvent également s'engager à des obligations supplémentaires concernant l'étiquetage des contenus générés par l'IA et les deepfakes.
Meta, la maison mère de Facebook et Instagram, a expliqué que l'incertitude autour de la régulation européenne l'empêche de signer pour l'instant, bien qu'une adhésion future ne soit pas exclue.
La société critique également la régulation "incohérente" de l'UE, ce qui a retardé le lancement de Meta AI en Europe. De son côté, Mistral a exprimé ses craintes quant à l'impact de l'AI Act sur les jeunes entreprises, affirmant que les exigences réglementaires pourraient freiner l'innovation dans l'écosystème européen de l'IA.
Bien que non contraignant, le Pacte sur l'IA engage les entreprises à atteindre ces objectifs "dans la mesure du possible". Toutefois, l'absence de certains acteurs majeurs du secteur pourrait limiter l'impact de cette initiative.
Parmi les signataires figurent des entreprises majeures comme Google, Microsoft, Amazon et IBM, mais des absents notables tels que Meta, Apple, Anthropic, et la startup française Mistral se sont fait remarquer. Le Pacte, initié en mars 2023, vise à servir d'étape intermédiaire avant l'application complète de l'AI Act.
Il incite les entreprises à adopter certaines mesures liées à la gouvernance éthique de l'IA et à identifier les usages de l'IA dans des secteurs à haut risque, comme l'éducation et le maintien de l'ordre. Les signataires peuvent également s'engager à des obligations supplémentaires concernant l'étiquetage des contenus générés par l'IA et les deepfakes.
Meta, la maison mère de Facebook et Instagram, a expliqué que l'incertitude autour de la régulation européenne l'empêche de signer pour l'instant, bien qu'une adhésion future ne soit pas exclue.
La société critique également la régulation "incohérente" de l'UE, ce qui a retardé le lancement de Meta AI en Europe. De son côté, Mistral a exprimé ses craintes quant à l'impact de l'AI Act sur les jeunes entreprises, affirmant que les exigences réglementaires pourraient freiner l'innovation dans l'écosystème européen de l'IA.
Bien que non contraignant, le Pacte sur l'IA engage les entreprises à atteindre ces objectifs "dans la mesure du possible". Toutefois, l'absence de certains acteurs majeurs du secteur pourrait limiter l'impact de cette initiative.