Selon le rapport, cette nouvelle valorisation découle d’une transaction secondaire réalisée début mars, durant laquelle des investisseurs ont échangé leurs parts existantes dans l’entreprise.
Parallèlement, X chercherait à lever jusqu’à 2 milliards de dollars supplémentaires via une émission d’actions afin de rembourser plus d’un milliard de dettes contractées lors du rachat initial.
Cette remontée s'inscrit en contraste avec la situation post-rachat, lorsque la valeur de l'entreprise était estimée à moins de 10 milliards de dollars.
Elon Musk, après avoir renommé Twitter en X, avait mis en œuvre des réductions de coûts drastiques, dont le licenciement d'équipes de modération, ce qui avait provoqué le départ de nombreux annonceurs, inquiets de la montée des contenus problématiques.
Cependant, les mesures d’austérité semblent désormais porter leurs fruits, les bénéfices d’exploitation ayant retrouvé leur niveau d’avant le rachat. De plus, l’influence grandissante de Musk auprès de l’administration Trump a renforcé l’attractivité de X auprès des investisseurs et des marques. Des géants comme Apple et Amazon ont notamment renoué avec la plateforme.
Ce regain d’intérêt a également permis aux banques de Wall Street impliquées dans le financement du rachat de Musk de revendre la quasi-totalité des 12,5 milliards de dollars de prêts utilisés lors de la transaction initiale. Grâce à ce repositionnement stratégique, X semble prêt à entamer un nouveau chapitre de croissance dans l’univers des médias sociaux.
Parallèlement, X chercherait à lever jusqu’à 2 milliards de dollars supplémentaires via une émission d’actions afin de rembourser plus d’un milliard de dettes contractées lors du rachat initial.
Cette remontée s'inscrit en contraste avec la situation post-rachat, lorsque la valeur de l'entreprise était estimée à moins de 10 milliards de dollars.
Elon Musk, après avoir renommé Twitter en X, avait mis en œuvre des réductions de coûts drastiques, dont le licenciement d'équipes de modération, ce qui avait provoqué le départ de nombreux annonceurs, inquiets de la montée des contenus problématiques.
Cependant, les mesures d’austérité semblent désormais porter leurs fruits, les bénéfices d’exploitation ayant retrouvé leur niveau d’avant le rachat. De plus, l’influence grandissante de Musk auprès de l’administration Trump a renforcé l’attractivité de X auprès des investisseurs et des marques. Des géants comme Apple et Amazon ont notamment renoué avec la plateforme.
Ce regain d’intérêt a également permis aux banques de Wall Street impliquées dans le financement du rachat de Musk de revendre la quasi-totalité des 12,5 milliards de dollars de prêts utilisés lors de la transaction initiale. Grâce à ce repositionnement stratégique, X semble prêt à entamer un nouveau chapitre de croissance dans l’univers des médias sociaux.