Les sociétés de télécommunications Vodafone et Iliad sont en pourparlers en Italie afin d'y fusionner leurs activités dans les télécoms. La combinaison créerait une entreprise avec un chiffre d'affaires combiné de près de 6 milliards d'euros.
Iliad devrait théoriquement annoncer cette semaine le lancement d'une offre de fibre optique dans la péninsule italienne. Une offre qui pourrait d'ailleurs s'appuyer sur les réseaux d'autres opérateurs, déjà présents sur le marché transalpin.
Des sources ont déclaré à Reuters que l'opérateur -dont le siège est en France- travaille avec la banque d'investissement Lazard sur ses plans stratégiques pour le pays.
L'entrée d'Iliad en Italie en 2018 a donné le coup d'envoi d'une compétition féroce avec les opérateurs mobiles historiques. L'activité italienne a généré un chiffre d'affaires de 674 millions d'euros en 2020 tandis que Vodafone Italia a rapporté environ 5 milliards d'euros au cours de l'exercice clos le 31 mars 2021. Reuters a noté que tout accord créerait un groupe détenant 36% du marché mobile.
Les efforts des opérateurs de télécommunications européens pour créer de la valeur par le biais de fusions et acquisitions pourraient annoncer une année 2022 chargée, avec une poussée de consolidation susceptible de prendre le devant de la scène
Iliad devrait théoriquement annoncer cette semaine le lancement d'une offre de fibre optique dans la péninsule italienne. Une offre qui pourrait d'ailleurs s'appuyer sur les réseaux d'autres opérateurs, déjà présents sur le marché transalpin.
Des sources ont déclaré à Reuters que l'opérateur -dont le siège est en France- travaille avec la banque d'investissement Lazard sur ses plans stratégiques pour le pays.
L'entrée d'Iliad en Italie en 2018 a donné le coup d'envoi d'une compétition féroce avec les opérateurs mobiles historiques. L'activité italienne a généré un chiffre d'affaires de 674 millions d'euros en 2020 tandis que Vodafone Italia a rapporté environ 5 milliards d'euros au cours de l'exercice clos le 31 mars 2021. Reuters a noté que tout accord créerait un groupe détenant 36% du marché mobile.
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