La Commission européenne a récemment sollicité TikTok et YouTube afin qu'ils fournissent "davantage d’informations sur les mesures qu’elles ont prises pour se conformer à leurs obligations en matière de protection des mineurs", selon un communiqué officiel.
Ces demandes ne constituent pas pour l’instant une mise en cause. Mais il s’agit d’une première étape dans des procédures qui peuvent conduire à de lourdes sanctions financières en cas d’infractions avérées et prolongées à la réglementation. Dans des cas extrêmes, les amendes peuvent atteindre 6 % du chiffre d’affaires mondial des groupes mis en cause.
Les géants de la vidéo en ligne, YouTube et TikTok, ont jusqu'au 30 novembre pour répondre aux demandes de la Commission européenne. Cette dernière a précisé que "sur la base de l'évaluation des réponses, elle examinera les prochaines étapes, ce qui pourrait entraîner l'ouverture formelle de procédures".
Ces demandes ne constituent pas pour l’instant une mise en cause. Mais il s’agit d’une première étape dans des procédures qui peuvent conduire à de lourdes sanctions financières en cas d’infractions avérées et prolongées à la réglementation. Dans des cas extrêmes, les amendes peuvent atteindre 6 % du chiffre d’affaires mondial des groupes mis en cause.
Les géants de la vidéo en ligne, YouTube et TikTok, ont jusqu'au 30 novembre pour répondre aux demandes de la Commission européenne. Cette dernière a précisé que "sur la base de l'évaluation des réponses, elle examinera les prochaines étapes, ce qui pourrait entraîner l'ouverture formelle de procédures".