Bien décidé à bousculer les fournisseurs d’accès à internet (fibre, adsl,…), StarLink, le réseau cellulaire d’Elon Musk (Tesla, SpaceX,..) pourrait également fonctionner… sur les téléphones mobiles !
A l’occasion d’un partenariat avec T-Mobile US, Elon Musk a en effet expliqué que la prochaine génération de StarLink, « StarLink 2 » offrirait une compatibilité avec le réseau cellulaire PCS (1900 Mhz) exploité par son partenaire aux Etats-Unis.
Une compatibilité, attendue fin 2023, et qui devrait dans un premier temps se limiter aux messages (SMS, MMS, RCS) mais qui pourrait s’étendre, dans un second temps, aux messages vocaux et aux communications téléphoniques, par exemple au volant d'une ... Tesla.
Bien que volant à plus de 550 kilomètres du sol, les satellites de Starlink pourraient donc permettre l’échange de données avec les téléphones mobiles américains, et pourquoi pas un jour avec d’autres réseaux cellulaires, sous réserve d’une compatibilité technique.
En début d’année, Mark Gurman avait d’ailleurs évoqué les discussions entre Apple et l’opérateur satellite GlobalStar, pour offrir aux prochains iPhones une connectivité satellitaire, limitée dans un premier temps aux appels d’urgence et aux messages écrits.
Longtemps limité aux aventuriers, aux diplomates ou aux militaires, le marché de la téléphonie par satellite se limite pour le moment aux offres de satellites en orbite géostationnaire (36 000 km) comme Inmarsat et Thuraya, ou aux constellations en orbite basse (1000 km) comme Iridium ou Globalstar.
A l’occasion d’un partenariat avec T-Mobile US, Elon Musk a en effet expliqué que la prochaine génération de StarLink, « StarLink 2 » offrirait une compatibilité avec le réseau cellulaire PCS (1900 Mhz) exploité par son partenaire aux Etats-Unis.
Une compatibilité, attendue fin 2023, et qui devrait dans un premier temps se limiter aux messages (SMS, MMS, RCS) mais qui pourrait s’étendre, dans un second temps, aux messages vocaux et aux communications téléphoniques, par exemple au volant d'une ... Tesla.
« Ce partenariat a pour ambition de mettre un terme aux zones blanches » expliquent les deux partenaires dans un communiqué commun.
Bien que volant à plus de 550 kilomètres du sol, les satellites de Starlink pourraient donc permettre l’échange de données avec les téléphones mobiles américains, et pourquoi pas un jour avec d’autres réseaux cellulaires, sous réserve d’une compatibilité technique.
En début d’année, Mark Gurman avait d’ailleurs évoqué les discussions entre Apple et l’opérateur satellite GlobalStar, pour offrir aux prochains iPhones une connectivité satellitaire, limitée dans un premier temps aux appels d’urgence et aux messages écrits.
Longtemps limité aux aventuriers, aux diplomates ou aux militaires, le marché de la téléphonie par satellite se limite pour le moment aux offres de satellites en orbite géostationnaire (36 000 km) comme Inmarsat et Thuraya, ou aux constellations en orbite basse (1000 km) comme Iridium ou Globalstar.