La liberté de Musk va bien, merci pour elle
Elon Musk a fourni quelques informations commerciales sur son plan d'évolution pour Twitter, qui verra l'entreprise se relancer dans une campagne de recrutement orientée ingénierie et développement, après avoir licencié 65 % de ses effectifs actuels, pour l'aider à réaliser la grande vision que le milliardaire a pour Twitter
Qui dit grande vision dit forcément mise en place d'une nouvelle présentation, une nouvelle plaquette, qui vise à clarifier son plan actuel. Ce dernier, comme nous en avons été témoins ces derniers temps, évolue rapidement, et son power point pourrait indicatif de l'état actuel de sa vision de de Twitter et être obsolète ... dès demain. On y note néanmoins l'essentiel de ses sorties médiatiques depuis début novembre transformées en produit. Messages privés cryptés avec la même technologie que l'application Signal, twits plus long, twits éditables, Twitter blue et son système de coche, meilleur support de la vidéo plus longue... Tout y est même les plans bancaires vers la super App, et quelques slides tendant à rassurer les investisseurs publicitaires, comme celui (douteux) où il annonce que les discours de haine en ligne tendent à diminuer ces dernières semaines.
Qui dit grande vision dit forcément mise en place d'une nouvelle présentation, une nouvelle plaquette, qui vise à clarifier son plan actuel. Ce dernier, comme nous en avons été témoins ces derniers temps, évolue rapidement, et son power point pourrait indicatif de l'état actuel de sa vision de de Twitter et être obsolète ... dès demain. On y note néanmoins l'essentiel de ses sorties médiatiques depuis début novembre transformées en produit. Messages privés cryptés avec la même technologie que l'application Signal, twits plus long, twits éditables, Twitter blue et son système de coche, meilleur support de la vidéo plus longue... Tout y est même les plans bancaires vers la super App, et quelques slides tendant à rassurer les investisseurs publicitaires, comme celui (douteux) où il annonce que les discours de haine en ligne tendent à diminuer ces dernières semaines.
Le site Social Media today fait l'inventaire (en anglais) des différentes volontés de développement de l'application Twitter, et sa vision de la liberté d'expression totale... Pour l'homme qui est entré en guerre ouverte contre Apple qui menace de plus en plus de retirer Twitter de sa plateforme si l'entreprise ne se conforme pas aux exigences de vérification du contenu et du discours de haine potentiel.Slides from my Twitter company talk pic.twitter.com/8LLXrwylta
— Elon Musk (@elonmusk) November 27, 2022
Cocorico bien réel
Je profite de la publication d'un article sur le site Meilleure innovation pour parler de l'application Be Real que je pointe souvent dans la veille Twitter mais encore rarement dans la veille écrite en ces lignes. Mais comme il s'agit d'un succès français actuel, autant en profiter maintenant :
L'application Be Real, disponible sur iPhone et Android se présente comme un « anti-Instagram », ici foin de mises en scène, de faux-semblants et les selfies préparés à l’avance pour se montrer sous son meilleur profil. Be Real prend le contrepied et encourage ses usagers à être plus authentiques. Les utilisateurs reçoivent une notification push par jour à une heure d'éveil aléatoire et doivent poster une photo dans les deux minutes qui suivent l’alerte. Voilà la promesse produit. Une photo camera avant ouverte, l'autre caméra arrière. Et c'est tout.
Be Real c'est le projet de Alexis Berreyat et Kevin Perreau, deux diplômés de l’École 42, une école de codage informatique fondée et financée par Xavier Niel. Elle voit le jour en 2020 en pleine pandémie de coronavirus. Après deux années de vivotage, elle gagne rapidement en popularité auprès de la Gen Z et comptabilise plus 53 millions de téléchargements en 2022 jusqu'à se hisser (effet de curiosité dont on bénéficié Meerkat ou Clubhouse en leur temps?) assez régulièrement parmi les applications les plus téléchargées du store et engranger 10 millions d'utilisateurs actifs quotidiens.
Ce succès d'époque et le fonctionnement ultra simpliste d'une application où les gens attendent quand même souvent de faire quelque chose pour poster leur Real (canailles va), telle que décrypté par le site, attire évidemment les copycateurs que sont Instagram et Tik Tok qui sont tous deux en train d'intégrer l'option "plus de réalité moins de fake" comme deux options de leur réseau social. Une fois lancées et promues ces fonctionnalités ne sonneront-elles pas la fin de Be Real? Gageons que le pivotement de la masse d'utilisateurs actifs de l'application est une des données auxquelles les deux entrepreneurs doivent forcément penser.
L'application Be Real, disponible sur iPhone et Android se présente comme un « anti-Instagram », ici foin de mises en scène, de faux-semblants et les selfies préparés à l’avance pour se montrer sous son meilleur profil. Be Real prend le contrepied et encourage ses usagers à être plus authentiques. Les utilisateurs reçoivent une notification push par jour à une heure d'éveil aléatoire et doivent poster une photo dans les deux minutes qui suivent l’alerte. Voilà la promesse produit. Une photo camera avant ouverte, l'autre caméra arrière. Et c'est tout.
Be Real c'est le projet de Alexis Berreyat et Kevin Perreau, deux diplômés de l’École 42, une école de codage informatique fondée et financée par Xavier Niel. Elle voit le jour en 2020 en pleine pandémie de coronavirus. Après deux années de vivotage, elle gagne rapidement en popularité auprès de la Gen Z et comptabilise plus 53 millions de téléchargements en 2022 jusqu'à se hisser (effet de curiosité dont on bénéficié Meerkat ou Clubhouse en leur temps?) assez régulièrement parmi les applications les plus téléchargées du store et engranger 10 millions d'utilisateurs actifs quotidiens.
Ce succès d'époque et le fonctionnement ultra simpliste d'une application où les gens attendent quand même souvent de faire quelque chose pour poster leur Real (canailles va), telle que décrypté par le site, attire évidemment les copycateurs que sont Instagram et Tik Tok qui sont tous deux en train d'intégrer l'option "plus de réalité moins de fake" comme deux options de leur réseau social. Une fois lancées et promues ces fonctionnalités ne sonneront-elles pas la fin de Be Real? Gageons que le pivotement de la masse d'utilisateurs actifs de l'application est une des données auxquelles les deux entrepreneurs doivent forcément penser.
#Instagram is working on IG Candid Challenges, a feature inspired by @BeReal_App 👀
ℹ️ Add other's IG Candid to your story tray. And everyday at a different time, get a notification to capture and share a Photo in 2 Minutes. pic.twitter.com/caTCgUPtEV
— Alessandro Paluzzi (@alex193a) August 22, 2022
Devenir influenceur qui pèse dans le game
Se constituer un public est l'une des premières étapes pour devenir un créateur de contenu professionnel. Gagner des adeptes sur différentes plateformes de médias sociaux nécessite des stratégies différentes. Elles sont parfois obscures au néophyte tant les plateformes de réseau sociaux renâclent bien évidemment à expliciter ce qui fait le sel algorithmique d'un contenu qui marche , et tant le buzz qui peut faire décoller une carrière est une donnée totalement volatile et hasardeuse
Yahoo Finances en anglais est allé à la rencontre de créateurs sur les plateformes du moment pour voir comment eux développent leur audience sur des plateformes comme Instagram, TikTok, YouTube ou LinkedIn.
Que ce soit sur Instagram, YouTube, TikTok ou même LinkedIn, gagner la confiance et l'attention de milliers de personnes est crucial pour devenir un créateur de contenu à plein temps et essayer de dégager un financement de l'exercice.
Article intéressant parce qu'il donne quelques astuces d'horaire, de mots clés, de niches ou de méthodes parfois simples à utiliser, pour amaximiser la longue traine de chaque post et fidéliser ses "followers".
Yahoo Finances en anglais est allé à la rencontre de créateurs sur les plateformes du moment pour voir comment eux développent leur audience sur des plateformes comme Instagram, TikTok, YouTube ou LinkedIn.
Que ce soit sur Instagram, YouTube, TikTok ou même LinkedIn, gagner la confiance et l'attention de milliers de personnes est crucial pour devenir un créateur de contenu à plein temps et essayer de dégager un financement de l'exercice.
Article intéressant parce qu'il donne quelques astuces d'horaire, de mots clés, de niches ou de méthodes parfois simples à utiliser, pour amaximiser la longue traine de chaque post et fidéliser ses "followers".
Le statut juridique des influenceurs.
Le conflit entre le rappeur Booba et Magali Berdah, directrice de l’agence d’influenceurs Shauna Events: le premier reprochant à l’agence de promouvoir des arnaques (marchandise non reçue, produits non conformes…), et en retour l’agence l’accusant de cyberharcèlement aura au moins mis en lumière une réalité des réseaux sociaux. Le petit commerce porté par les personnalités du monde réel ou créées de toutes pièces sur les réseaux sociaux génère de la thune et donc des guerres commerciales.
Dans un article de My Digital Week en français, le professeur Marie Malaurie de l’Université de Paris Saclay revient sur le statut juridique des influenceurs, et nous apprend que hormi les réglementations particulières régissant le travail des enfants influenceurs, les vendeurs de produits, services et recommandations personnelles sur les réseaux sociaux, ne disposent pas de de règle de droit unique qui régit leur profession particulière, « une personne active sur les réseaux sociaux, qui par son statut, sa position ou son exposition médiatique est capable d’être un relais d’opinion influençant les habitudes de consommation dans un but marketing ». Droits de la publicité, droit de la consommation, de la concurrence déloyale, de la propriété intellectuelle ou soumission à des règles spécifiques encadrant des publicités dans des domaines particuliers (alcool, produits financiers, etc.) ou encore au droit pénal spécial (harcèlement, délit d’abus de faiblesse, le cadre légale expliqué par le professeur dans l'article témoigne par son éclatement d'une profession qui a évolué plus vite que le droit.
Voilà c'est environ tout pour aujourd'hui. Si tu as, encore, appris quelque chose grâce à Ecranmobile aujourd'hui, parles-en autour de toi....
Salut à toi LesInternets.
Dans un article de My Digital Week en français, le professeur Marie Malaurie de l’Université de Paris Saclay revient sur le statut juridique des influenceurs, et nous apprend que hormi les réglementations particulières régissant le travail des enfants influenceurs, les vendeurs de produits, services et recommandations personnelles sur les réseaux sociaux, ne disposent pas de de règle de droit unique qui régit leur profession particulière, « une personne active sur les réseaux sociaux, qui par son statut, sa position ou son exposition médiatique est capable d’être un relais d’opinion influençant les habitudes de consommation dans un but marketing ». Droits de la publicité, droit de la consommation, de la concurrence déloyale, de la propriété intellectuelle ou soumission à des règles spécifiques encadrant des publicités dans des domaines particuliers (alcool, produits financiers, etc.) ou encore au droit pénal spécial (harcèlement, délit d’abus de faiblesse, le cadre légale expliqué par le professeur dans l'article témoigne par son éclatement d'une profession qui a évolué plus vite que le droit.
Voilà c'est environ tout pour aujourd'hui. Si tu as, encore, appris quelque chose grâce à Ecranmobile aujourd'hui, parles-en autour de toi....
Salut à toi LesInternets.