Netflix a confirmé une importante hausse de ses tarifs en France, une annonce qui coïncide avec la publication de ses résultats financiers trimestriels particulièrement solides. Le chiffre d’affaires du géant du streaming a atteint 10 milliards de dollars au premier trimestre 2025 (+12,5 %), pour un bénéfice net frôlant les 3 milliards.
Derrière ces bons résultats, une mauvaise surprise pour les abonnés : les prix montent en flèche. Le forfait Standard avec publicité passe de 5,99 € à 7,99 €. L’offre Standard sans publicité grimpe de 13,49 € à 14,99 €, tandis que l’abonnement Premium atteint désormais 21,99 € par mois, soit 2 € de plus. Cette nouvelle augmentation survient quelques mois après une hausse similaire aux États-Unis, où le forfait sans pub a été relevé à 18 $.
Selon l’analyste Ross Benes, les consommateurs doivent s’attendre à de nouvelles hausses, en particulier en Europe. En toile de fond, les tensions commerciales initiées par Washington pourraient entraîner une taxation accrue des géants du streaming par l’Union européenne, avec des répercussions directes sur les tarifs.
Interrogé sur cette hypothèse, le ministre de l’Économie Éric Lombard a reconnu que de telles augmentations de prix étaient "tout à fait possibles", expliquant qu’une guerre tarifaire impacte inévitablement le coût final pour les consommateurs, quel que soit le secteur concerné.
Malgré cette décision impopulaire, Netflix poursuit sa croissance. En restreignant le partage de comptes, en développant ses contenus originaux, en misant sur la publicité et en s’ouvrant à de nouveaux formats comme le sport en direct, la plateforme espère atteindre 410 millions d’abonnés et une valorisation de 1 000 milliards de dollars d’ici 2030.
Derrière ces bons résultats, une mauvaise surprise pour les abonnés : les prix montent en flèche. Le forfait Standard avec publicité passe de 5,99 € à 7,99 €. L’offre Standard sans publicité grimpe de 13,49 € à 14,99 €, tandis que l’abonnement Premium atteint désormais 21,99 € par mois, soit 2 € de plus. Cette nouvelle augmentation survient quelques mois après une hausse similaire aux États-Unis, où le forfait sans pub a été relevé à 18 $.
Selon l’analyste Ross Benes, les consommateurs doivent s’attendre à de nouvelles hausses, en particulier en Europe. En toile de fond, les tensions commerciales initiées par Washington pourraient entraîner une taxation accrue des géants du streaming par l’Union européenne, avec des répercussions directes sur les tarifs.
Interrogé sur cette hypothèse, le ministre de l’Économie Éric Lombard a reconnu que de telles augmentations de prix étaient "tout à fait possibles", expliquant qu’une guerre tarifaire impacte inévitablement le coût final pour les consommateurs, quel que soit le secteur concerné.
Malgré cette décision impopulaire, Netflix poursuit sa croissance. En restreignant le partage de comptes, en développant ses contenus originaux, en misant sur la publicité et en s’ouvrant à de nouveaux formats comme le sport en direct, la plateforme espère atteindre 410 millions d’abonnés et une valorisation de 1 000 milliards de dollars d’ici 2030.