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Plusieurs États américains, dont la Californie, Hawaï et New York, ont entamé des poursuites judiciaires contre Meta, accusant la société d'avoir délibérément créé des fonctionnalités sur Instagram et Facebook contribuant à l'addiction des jeunes à ses plateformes.
Les procureurs généraux affirment que Meta a exploité ces plateformes pour attirer et piéger les jeunes, provoquant ainsi des dommages significatifs à leur santé mentale et physique. Cette action en justice fait suite à des enquêtes menées sur les pratiques de Meta au cours des deux dernières années.
Les procureurs généraux affirment que Meta a exploité ces plateformes pour attirer et piéger les jeunes, provoquant ainsi des dommages significatifs à leur santé mentale et physique. Cette action en justice fait suite à des enquêtes menées sur les pratiques de Meta au cours des deux dernières années.
"Meta a exploité des technologies puissantes et sans précédent pour attirer (...) et finalement piéger les jeunes et les adolescents afin de faire des profits", assènent les procureurs généraux dans l'introduction de la plainte déposée auprès d'un tribunal californien.
De son côté, l’entreprise de Mark Zuckerberg a affirmé qu’elle avait cherché à assurer la sécurité des jeunes en ligne.
« Nous sommes déçus qu’au lieu de travailler de manière productive avec les entreprises du secteur pour créer des normes claires et adaptées à l’âge pour les nombreuses applications utilisées par les adolescents, les procureurs généraux aient choisi cette voie », a déclaré l’entreprise du métavers dans un communiqué.
Le procès contre Meta est le dernier en date d’une série d’actions en justice contre des entreprises de réseaux sociaux et leurs effets sur les enfants et les adolescents. TikTok et YouTube font également l’objet de centaines d’actions en justice pour les mêmes raisons.
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