Face à la recrudescence des arnaques en ligne utilisant l’image de personnalités publiques comme Elon Musk, Emmanuel Macron ou Élise Lucet, Meta teste une nouvelle fonctionnalité de reconnaissance faciale pour lutter contre les fausses publicités. Ces campagnes malveillantes, souvent conçues pour collecter et revendre des données personnelles, prennent une ampleur inquiétante sur les plateformes du groupe.
Ce nouvel outil, actuellement en phase de test dans l’Union européenne, au Royaume-Uni et en Corée du Sud, s’adresse principalement aux personnalités publiques. Une fois activée, la fonctionnalité analyse les images de profil des utilisateurs éligibles et les compare automatiquement aux visuels présents dans des annonces suspectes. En cas de correspondance frauduleuse, la publicité est immédiatement bloquée par les systèmes de Meta.
Selon David Agranovich, directeur des équipes de cybersécurité de Meta, les retours initiaux sont encourageants. Il indique dans une déclaration au Monde que certaines organisations partenaires, comme la Global Anti-Scam Alliance, ont salué l’initiative. Néanmoins, certains experts européens émettent encore des doutes quant à l’efficacité réelle de cette technologie, faute de résultats chiffrés et de transparence sur les cas détectés.
Parallèlement, Meta propose à ses utilisateurs une authentification par reconnaissance faciale pour renforcer la sécurité des comptes. Cette vérification consiste à enregistrer une courte vidéo de soi-même afin de confirmer son identité, notamment en cas de tentative de récupération de compte.
Le géant américain multiplie les initiatives pour sécuriser ses plateformes — Facebook, Instagram, WhatsApp et Messenger — contre les escroqueries. Sur WhatsApp, des messages d’alerte informent les utilisateurs lorsqu’un message provient d’un expéditeur inconnu. Instagram, de son côté, avertit les abonnés lorsqu’un compte suspect tente de les suivre, et encourage la vigilance.
Sur Facebook Marketplace, les utilisateurs reçoivent désormais des avertissements lorsqu’un échange présente des signes typiques de fraude. Ces efforts s’inscrivent dans une stratégie plus large de Meta visant à améliorer la confiance numérique et à protéger ses milliards d’utilisateurs à travers le monde.
Ce nouvel outil, actuellement en phase de test dans l’Union européenne, au Royaume-Uni et en Corée du Sud, s’adresse principalement aux personnalités publiques. Une fois activée, la fonctionnalité analyse les images de profil des utilisateurs éligibles et les compare automatiquement aux visuels présents dans des annonces suspectes. En cas de correspondance frauduleuse, la publicité est immédiatement bloquée par les systèmes de Meta.
Selon David Agranovich, directeur des équipes de cybersécurité de Meta, les retours initiaux sont encourageants. Il indique dans une déclaration au Monde que certaines organisations partenaires, comme la Global Anti-Scam Alliance, ont salué l’initiative. Néanmoins, certains experts européens émettent encore des doutes quant à l’efficacité réelle de cette technologie, faute de résultats chiffrés et de transparence sur les cas détectés.
Parallèlement, Meta propose à ses utilisateurs une authentification par reconnaissance faciale pour renforcer la sécurité des comptes. Cette vérification consiste à enregistrer une courte vidéo de soi-même afin de confirmer son identité, notamment en cas de tentative de récupération de compte.
Le géant américain multiplie les initiatives pour sécuriser ses plateformes — Facebook, Instagram, WhatsApp et Messenger — contre les escroqueries. Sur WhatsApp, des messages d’alerte informent les utilisateurs lorsqu’un message provient d’un expéditeur inconnu. Instagram, de son côté, avertit les abonnés lorsqu’un compte suspect tente de les suivre, et encourage la vigilance.
Sur Facebook Marketplace, les utilisateurs reçoivent désormais des avertissements lorsqu’un échange présente des signes typiques de fraude. Ces efforts s’inscrivent dans une stratégie plus large de Meta visant à améliorer la confiance numérique et à protéger ses milliards d’utilisateurs à travers le monde.