L’apparition de nouveaux environnements logiciels comme Google Android ou le futur Palm Nova s’accompagne également de la disparition de certains éditeurs....
Dix ans après sa création par Ericsson en 1998, huit ans après avoir été cédé à Symbian et deux ans après avoir avoir été repris par Sony Ericsson... la société suédoise UIQ Technology, éditrice de l’interface logicielle éponyme, est en effet en train de faire faillite.
La société aurait déposé son bilan auprès d’un tribunal de commerce de Stockholm en suède. « Il n’y a pas d’opportunité pour créer une nouvelle activité dans le contexte financier actuel » a expliqué Johan Sandberg, Directeur Exécutif de UIQ à Reuters.
UIQ avait marqué le petit monde des smartphones en équipant dès 2003 le mythique P800 de Sony Ericsson avec son environnement logiciel, basé sur un noyau Symbian. Délaissé par Nokia, qui lui préférait sa propre interface S60, UIQ aura finalement également été abandonné par Sony Ericsson dont le dernier smartphone, le Xperia, tourne sous Windows Mobile. Un beau gâchis qui démontre une nouvelle fois la difficulté de créer un éditeur européen de logiciels.
Dix ans après sa création par Ericsson en 1998, huit ans après avoir été cédé à Symbian et deux ans après avoir avoir été repris par Sony Ericsson... la société suédoise UIQ Technology, éditrice de l’interface logicielle éponyme, est en effet en train de faire faillite.
La société aurait déposé son bilan auprès d’un tribunal de commerce de Stockholm en suède. « Il n’y a pas d’opportunité pour créer une nouvelle activité dans le contexte financier actuel » a expliqué Johan Sandberg, Directeur Exécutif de UIQ à Reuters.
UIQ avait marqué le petit monde des smartphones en équipant dès 2003 le mythique P800 de Sony Ericsson avec son environnement logiciel, basé sur un noyau Symbian. Délaissé par Nokia, qui lui préférait sa propre interface S60, UIQ aura finalement également été abandonné par Sony Ericsson dont le dernier smartphone, le Xperia, tourne sous Windows Mobile. Un beau gâchis qui démontre une nouvelle fois la difficulté de créer un éditeur européen de logiciels.