La Commission européenne, à l'origine des lois européennes sur les données personnelles, est confrontée à des critiques sévères de la part du Contrôleur européen de la protection des données (CEPD) pour son utilisation des outils Microsoft tels que OneDrive, Teams, et SharePoint.
Dans un communiqué, le CEPD a souligné que l'exécutif européen, chargé de protéger les données, aurait enfreint les règles de protection des données en utilisant quotidiennement des services tels que Word, Excel, PowerPoint, Outlook, et d'autres.
Le CEPD a identifié des problèmes potentiels dans les contrats entre Bruxelles et Microsoft, appelant à des mesures correctives d'ici décembre 2024. Les conclusions de l'enquête, menée depuis mai 2021, révèlent que la Commission européenne aurait violé l'équivalent du RGPD applicable aux institutions de l'UE.
Les principales critiques portent sur le manque de garanties pour assurer la protection des données lors de transferts en dehors de l'Europe et sur l'absence de spécifications claires quant aux types de données collectées et à leurs finalités. La Commission européenne dispose jusqu'au 9 décembre pour remédier à ces lacunes et répondre aux préoccupations soulevées par le CEPD.
Dans un communiqué, le CEPD a souligné que l'exécutif européen, chargé de protéger les données, aurait enfreint les règles de protection des données en utilisant quotidiennement des services tels que Word, Excel, PowerPoint, Outlook, et d'autres.
Le CEPD a identifié des problèmes potentiels dans les contrats entre Bruxelles et Microsoft, appelant à des mesures correctives d'ici décembre 2024. Les conclusions de l'enquête, menée depuis mai 2021, révèlent que la Commission européenne aurait violé l'équivalent du RGPD applicable aux institutions de l'UE.
Les principales critiques portent sur le manque de garanties pour assurer la protection des données lors de transferts en dehors de l'Europe et sur l'absence de spécifications claires quant aux types de données collectées et à leurs finalités. La Commission européenne dispose jusqu'au 9 décembre pour remédier à ces lacunes et répondre aux préoccupations soulevées par le CEPD.