Comme chaque année, le Syndicat des Regies Internet ( SRI ) s'est associé à Cap Gemini pour publier son baromètre du marketing et de la "E-Publicité".
Un secteur qui ne connait pas la crise puisqu'il affiche encore une solide croissance de 9% pour atteindre 2,3 milliards d'euros en 2010 contre 2,11 en 2009.
Bien entendu, c'est le "search" et ses lucratifs liens sponsorisés qui se taille la part du lion avec plus de 960 million d'euros (+9%). Mais c'est paradoxalement le mobile, qui pèse tout juste 27 millions d'euros, qui affiche la plus belle croissance cette année : +23%.
"La démocratisation des smartphones a créé une dynamique sur le marché mobile grâce à l’attractivité des applications. Avec l’écosystème smartphones / applications, le mobile fait la démonstration de sa qualité et de sa valeur, attirant de nouveaux annonceurs premiums comme le luxe ou l’automobile. L’enjeu pour les annonceurs est de pérenniser l’usage de leurs applications." a expliqué Jérôme Bourgeais, Directeur associé au sein de Capgemini Consulting.
Un secteur qui ne connait pas la crise puisqu'il affiche encore une solide croissance de 9% pour atteindre 2,3 milliards d'euros en 2010 contre 2,11 en 2009.
Bien entendu, c'est le "search" et ses lucratifs liens sponsorisés qui se taille la part du lion avec plus de 960 million d'euros (+9%). Mais c'est paradoxalement le mobile, qui pèse tout juste 27 millions d'euros, qui affiche la plus belle croissance cette année : +23%.
"La démocratisation des smartphones a créé une dynamique sur le marché mobile grâce à l’attractivité des applications. Avec l’écosystème smartphones / applications, le mobile fait la démonstration de sa qualité et de sa valeur, attirant de nouveaux annonceurs premiums comme le luxe ou l’automobile. L’enjeu pour les annonceurs est de pérenniser l’usage de leurs applications." a expliqué Jérôme Bourgeais, Directeur associé au sein de Capgemini Consulting.
Un segment qui devrait en tout cas poursuivre sa croissance dans les prochaines années puisque sa part de marché (environ 1%) n'est pas à la hauteur de son audience réunissant plus d'un quart de la population française.