Petit écran, petit marché. A l'occasion de la dixième édition de son observatoire de la publicité digitale, le syndicat des régies internet (SRI) a une fois de plus fait le constat d'une fort croissance de la publicité mobile (+29% sur un an) mais d'un volume d'activité anormalement faible (85 millions d'euros) compte tenu du poids des écrans mobiles (smartphones, tablettes) dans le paysage médiatique français.
"Côté éditeurs et régies, les offres sont de plus en plus riches et diversifiées (m-commerce, formats plus innovants et créatifs…) côté mobinautes, l’accès à l’internet mobile est facilité grâce des forfaits à tarifs compétitifs avec internet illimité et le développement de la 4G. Malgré tout, si près d’un tiers des audiences internet (31%) se font via mobile, ce device ne concentre que 6% des investissements publicitaires digitaux." observe Eric Aderdor, Président du SRI.
Une situation d'autant plus inexplicable que la publicité mobile représente déjà 8% des investissements en Italie, 14% aux Etats-Unis et plus de 17% en Grande-Bretagne, soit le troisième format après les liens sponsorisés et les bannières.
Avec des taux de croissance de plus de 30% par an, ce segment devrait toutefois dépasser sous peu l'emailing, les comparateurs de prix voire l'affiliation, sur un marché de la publicité digitale affichant une croissance annuelle globale d'à peine 4% pour atteindre 826 millions d'euros sur le premier semestre de l'année 2013.
"Côté éditeurs et régies, les offres sont de plus en plus riches et diversifiées (m-commerce, formats plus innovants et créatifs…) côté mobinautes, l’accès à l’internet mobile est facilité grâce des forfaits à tarifs compétitifs avec internet illimité et le développement de la 4G. Malgré tout, si près d’un tiers des audiences internet (31%) se font via mobile, ce device ne concentre que 6% des investissements publicitaires digitaux." observe Eric Aderdor, Président du SRI.
Une situation d'autant plus inexplicable que la publicité mobile représente déjà 8% des investissements en Italie, 14% aux Etats-Unis et plus de 17% en Grande-Bretagne, soit le troisième format après les liens sponsorisés et les bannières.
Avec des taux de croissance de plus de 30% par an, ce segment devrait toutefois dépasser sous peu l'emailing, les comparateurs de prix voire l'affiliation, sur un marché de la publicité digitale affichant une croissance annuelle globale d'à peine 4% pour atteindre 826 millions d'euros sur le premier semestre de l'année 2013.