Les jours des paiements en liquide sont ils comptés ? Avec désormais 165 millions de cartes NFC en circulation et 3,4 millions de terminaux de paiement équipant les commerçants, le "sans contact" devient une réalité technologique et commerciale pour des millions de gens.
Selon Visa qui a réalisé une enquête sur les paiements digitaux, 52% de la population aurait désormais eu recours à ce type de paiement en 2016, contre 36% en 2015. Le taux atteindrait même 57% parmi les 25/34 ans mais plafonnerait 47% chez les plus de 55 ans, qui n'étaient toutefois que 28% à se servir du NFC en 2015.
Mais les cartes sans contact ne pourraient être qu'une étape vers le paiement par mobile NFC. Selon la même étude, 46% des consommateurs se disent prêts à utiliser leur mobile pour payer, et même 37% à utiliser une application de type Wallet.
Reste toutefois à savoir si ce changement d'habitudes, au détriment du cash ou de la carte bancaire, se fera au profit des acteurs traditionnels de la monétique, ou si les géants du smartphones, constructeurs, éditeurs ou opérateurs, ne chercheront pas à s'imposer dans la chaîne de valeur.
Selon Visa qui a réalisé une enquête sur les paiements digitaux, 52% de la population aurait désormais eu recours à ce type de paiement en 2016, contre 36% en 2015. Le taux atteindrait même 57% parmi les 25/34 ans mais plafonnerait 47% chez les plus de 55 ans, qui n'étaient toutefois que 28% à se servir du NFC en 2015.
Mais les cartes sans contact ne pourraient être qu'une étape vers le paiement par mobile NFC. Selon la même étude, 46% des consommateurs se disent prêts à utiliser leur mobile pour payer, et même 37% à utiliser une application de type Wallet.
« Désormais équipés de nouveaux supports de paiement – montres, bracelets et autres accessoires connectés, portefeuilles numériques directement accessibles depuis leurs mobiles – les consommateurs peuvent payer en magasin ou en ligne rapidement, facilement et en toute sécurité. » explique Gérard Nébouy, Regional Managing Director, Visa France
Reste toutefois à savoir si ce changement d'habitudes, au détriment du cash ou de la carte bancaire, se fera au profit des acteurs traditionnels de la monétique, ou si les géants du smartphones, constructeurs, éditeurs ou opérateurs, ne chercheront pas à s'imposer dans la chaîne de valeur.