Kinéis, opérateur de la première constellation européenne dédiée à l’Internet des Objets (IoT), vient d’achever avec succès le déploiement de ses 25 nanosatellites en orbite basse, marquant une étape stratégique dans l’histoire du spatial français. Le dernier lancement, opéré par Rocket Lab le 18 mars 2025 depuis la Nouvelle-Zélande, conclut une campagne de mise en orbite menée en moins d’un an. Cette prouesse technologique permet à la France de s’affirmer comme un leader européen de la connectivité spatiale dédiée à l’IoT.
Fondée en 2018, Kinéis répond à un enjeu de taille : connecter les 85 % de la planète non couverts par les réseaux terrestres. Grâce à sa constellation positionnée à 650 km d’altitude, l’entreprise propose une transmission de données rapide, fiable et accessible depuis n’importe quel point du globe. Elle devient ainsi la seule solution satellitaire européenne opérationnelle capable de couvrir les zones blanches.
Les nanosatellites Kinéis, pesant chacun 28 kg, sont dotés de technologies de pointe comme la propulsion électrique, des panneaux solaires, un système de géolocalisation performant et une capacité à éviter les collisions. Complétée par 20 stations-sol réparties dans le monde, cette infrastructure offre une couverture globale en quasi-temps réel.
L’ouverture commerciale des services est prévue pour le 1er juin 2025. Kinéis ambitionne de répondre à de multiples usages critiques : prévention des risques naturels (feux, inondations, sécheresse), surveillance logistique et maritime, suivi d’infrastructures énergétiques et connectivité des territoires isolés. L’entreprise, déjà présente aux États-Unis et au Brésil, multiplie les partenariats et pilotes avec des clients internationaux.
Ce succès repose sur un financement 100 % français public et privé, impliquant Bpifrance, CLS, le CNES, BNP Paribas Développement, CELAD, Thales, Héméria et d’autres industriels du spatial. Parmi les partenaires techniques majeurs, citons Héméria pour l’intégration des satellites, Thales Alenia Space pour les charges utiles, Syrlinks, Comat, Cobham, Steel Électronique, Safran, Exail et Scalian, ainsi que Cegedim pour l’hébergement des infrastructures numériques.
Kinéis vise désormais une rentabilité dès 2025, avec un chiffre d’affaires attendu à plus de 20 M€ en 2026 et 100 M€ en 2030. Cette réussite illustre la capacité d’une jeune entreprise française à structurer un projet spatial ambitieux et à le concrétiser en un temps record, grâce à une collaboration industrielle d’excellence et à une vision stratégique claire.
Fondée en 2018, Kinéis répond à un enjeu de taille : connecter les 85 % de la planète non couverts par les réseaux terrestres. Grâce à sa constellation positionnée à 650 km d’altitude, l’entreprise propose une transmission de données rapide, fiable et accessible depuis n’importe quel point du globe. Elle devient ainsi la seule solution satellitaire européenne opérationnelle capable de couvrir les zones blanches.
Les nanosatellites Kinéis, pesant chacun 28 kg, sont dotés de technologies de pointe comme la propulsion électrique, des panneaux solaires, un système de géolocalisation performant et une capacité à éviter les collisions. Complétée par 20 stations-sol réparties dans le monde, cette infrastructure offre une couverture globale en quasi-temps réel.
L’ouverture commerciale des services est prévue pour le 1er juin 2025. Kinéis ambitionne de répondre à de multiples usages critiques : prévention des risques naturels (feux, inondations, sécheresse), surveillance logistique et maritime, suivi d’infrastructures énergétiques et connectivité des territoires isolés. L’entreprise, déjà présente aux États-Unis et au Brésil, multiplie les partenariats et pilotes avec des clients internationaux.
Ce succès repose sur un financement 100 % français public et privé, impliquant Bpifrance, CLS, le CNES, BNP Paribas Développement, CELAD, Thales, Héméria et d’autres industriels du spatial. Parmi les partenaires techniques majeurs, citons Héméria pour l’intégration des satellites, Thales Alenia Space pour les charges utiles, Syrlinks, Comat, Cobham, Steel Électronique, Safran, Exail et Scalian, ainsi que Cegedim pour l’hébergement des infrastructures numériques.
Kinéis vise désormais une rentabilité dès 2025, avec un chiffre d’affaires attendu à plus de 20 M€ en 2026 et 100 M€ en 2030. Cette réussite illustre la capacité d’une jeune entreprise française à structurer un projet spatial ambitieux et à le concrétiser en un temps record, grâce à une collaboration industrielle d’excellence et à une vision stratégique claire.