Google, le géant américain de la publicité numérique, exige désormais que les publicités politiques diffusées sur ses plateformes indiquent clairement si elles ont utilisé l'intelligence artificielle (IA) dans leur création. Cette initiative survient alors que le développement rapide de l'IA suscite des préoccupations quant à son utilisation potentielle dans la manipulation des informations, en particulier dans le contexte de la campagne présidentielle américaine de 2024.
A partir de novembre, les publicités politiques devront "clairement indiquer" si elles contiennent des "contenus artificiellement créés" qui représentent des personnes ou des événements réels ou paraissant l'être, selon Google. Le géant californien a précisé qu'il continuait d'investir afin d'être capable de mieux détecter et retirer ces éléments.
Google a également souligné qu'il continuait d'investir dans la détection et la suppression des éléments générés par l'IA. Cette décision intervient après des controverses concernant l'utilisation de voix générées par l'IA dans des publicités politiques, notamment une fausse voix de Donald Trump utilisée par le comité de soutien de Ron DeSantis lors des primaires républicaines aux États-Unis.
Cette décision du numéro un mondial de la publicité numérique intervient alors que le développement rapide de l'IA génère des craintes sur ses potentiels détournements, notamment dans la campagne pour l'élection présidentielle américaine de 2024.
A partir de novembre, les publicités politiques devront "clairement indiquer" si elles contiennent des "contenus artificiellement créés" qui représentent des personnes ou des événements réels ou paraissant l'être, selon Google. Le géant californien a précisé qu'il continuait d'investir afin d'être capable de mieux détecter et retirer ces éléments.
Google a également souligné qu'il continuait d'investir dans la détection et la suppression des éléments générés par l'IA. Cette décision intervient après des controverses concernant l'utilisation de voix générées par l'IA dans des publicités politiques, notamment une fausse voix de Donald Trump utilisée par le comité de soutien de Ron DeSantis lors des primaires républicaines aux États-Unis.
Cette décision du numéro un mondial de la publicité numérique intervient alors que le développement rapide de l'IA génère des craintes sur ses potentiels détournements, notamment dans la campagne pour l'élection présidentielle américaine de 2024.