La Commission européenne intensifie ses efforts pour examiner un éventuel ciblage publicitaire des mineurs par Google et Meta. Cette affaire repose sur un accord secret entre les deux géants de la tech, qui aurait permis de contourner les règles en vigueur, suscitant l'inquiétude des régulateurs européens.
Depuis plusieurs mois, l’Union européenne enquête sur des allégations selon lesquelles Google et Meta auraient ciblé des mineurs à des fins publicitaires. Ces pratiques, contraires aux règles imposées par les deux entreprises elles-mêmes, concernent notamment YouTube et Instagram. Selon le Financial Times, la Commission européenne a récemment demandé à Google de fournir des informations supplémentaires sur un possible accord passé avec Meta.
L’origine de cette affaire remonte à un accord révélé en août dernier. Selon des documents internes, Meta aurait exploité une catégorie démographique définie comme « inconnue » dans les bases de données de Google, mais en réalité composée de mineurs. Cet accord aurait permis à Meta de lancer des campagnes publicitaires ciblées sur YouTube pour promouvoir Instagram, d’abord au Canada, puis aux États-Unis, avant qu’un déploiement mondial ne soit envisagé. La révélation de cet accord a cependant mis un terme prématuré à ces campagnes.
La Commission européenne a exigé en octobre que Google fournisse des données internes, des emails et d’autres documents liés à cette affaire. Ces nouvelles demandes confirment la volonté de Bruxelles de recueillir toutes les informations nécessaires avant d’ouvrir officiellement une enquête. Bien que celle-ci ne soit pas encore lancée, les investigations s’intensifient, laissant présager une possible action formelle contre les deux entreprises.
Cette affaire illustre une fois de plus la vigilance accrue de l’Union européenne envers les pratiques des géants technologiques. Si une enquête officielle est ouverte, elle pourrait déboucher sur des sanctions importantes, rappelant les précédentes amendes infligées à d’autres membres des GAFAM pour des violations similaires. Bruxelles réaffirme ainsi son engagement à protéger les utilisateurs, en particulier les mineurs, contre des pratiques publicitaires intrusives et contraires à l’éthique.
En renforçant son contrôle sur des pratiques jugées problématiques, la Commission européenne met en lumière les défis éthiques et juridiques liés à l’économie numérique, tout en rappelant aux géants de la tech leur responsabilité envers les utilisateurs les plus vulnérables.
Depuis plusieurs mois, l’Union européenne enquête sur des allégations selon lesquelles Google et Meta auraient ciblé des mineurs à des fins publicitaires. Ces pratiques, contraires aux règles imposées par les deux entreprises elles-mêmes, concernent notamment YouTube et Instagram. Selon le Financial Times, la Commission européenne a récemment demandé à Google de fournir des informations supplémentaires sur un possible accord passé avec Meta.
L’origine de cette affaire remonte à un accord révélé en août dernier. Selon des documents internes, Meta aurait exploité une catégorie démographique définie comme « inconnue » dans les bases de données de Google, mais en réalité composée de mineurs. Cet accord aurait permis à Meta de lancer des campagnes publicitaires ciblées sur YouTube pour promouvoir Instagram, d’abord au Canada, puis aux États-Unis, avant qu’un déploiement mondial ne soit envisagé. La révélation de cet accord a cependant mis un terme prématuré à ces campagnes.
La Commission européenne a exigé en octobre que Google fournisse des données internes, des emails et d’autres documents liés à cette affaire. Ces nouvelles demandes confirment la volonté de Bruxelles de recueillir toutes les informations nécessaires avant d’ouvrir officiellement une enquête. Bien que celle-ci ne soit pas encore lancée, les investigations s’intensifient, laissant présager une possible action formelle contre les deux entreprises.
Cette affaire illustre une fois de plus la vigilance accrue de l’Union européenne envers les pratiques des géants technologiques. Si une enquête officielle est ouverte, elle pourrait déboucher sur des sanctions importantes, rappelant les précédentes amendes infligées à d’autres membres des GAFAM pour des violations similaires. Bruxelles réaffirme ainsi son engagement à protéger les utilisateurs, en particulier les mineurs, contre des pratiques publicitaires intrusives et contraires à l’éthique.
En renforçant son contrôle sur des pratiques jugées problématiques, la Commission européenne met en lumière les défis éthiques et juridiques liés à l’économie numérique, tout en rappelant aux géants de la tech leur responsabilité envers les utilisateurs les plus vulnérables.