Trois ans après qu'une loi européenne sur la protection de la vie privée (RGPD) a forcé les grandes technologies à revoir leur façon de traiter les données des utilisateurs, les législateurs européens se sont mis d'accord sur une nouvelle législation radicale pour limiter le pouvoir de marché des géants de la technologie comme Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft.
La loi, appelée Digital Markets Act, est la politique numérique la plus radicale depuis que le bloc a mis en vigueur les règles les plus strictes au monde pour protéger les données en ligne des personnes en 2018. La législation vise à empêcher les plus grandes plateformes technologiques d'utiliser leurs services et leurs ressources considérables pour enfermer les utilisateurs et écraser les rivaux émergents, favorisant une plus grande concurrence et l'arrivée de nouveaux entrants.
Apple par exmeple, serait obligé d'ouvrir son App Store aux options de paiement de tiers au lieu d'obliger les utilisateurs à utiliser le propre système de paiement d'Apple. Google sera invité à proposer aux utilisateurs de smartphones fonctionnant sur le système d'exploitation Android de l'entreprise des alternatives à son moteur de recherche, à l'application Google Maps ou à son navigateur Chrome.
Les cibles de la loi incluent WhatsApp, Facebook Messenger, iMessage, l'App Store, Google Play et de nombreux autres services appartenant à de grandes entreprises technologiques.
Les nouvelles règles soulignent à quel point l'Europe est devenue un leader mondial dans les efforts visant à limiter le pouvoir des entreprises technologiques par une vague d'enquêtes antitrust, des réglementations strictes sur la confidentialité des données et des propositions de règles pour des domaines tels que l'intelligence artificielle.
Trois ans après qu'une loi européenne sur la protection de la vie privée a forcé les grandes technologies à revoir leur façon de traiter les données des utilisateurs, les législateurs européens se sont mis d'accord sur une nouvelle législation radicale pour limiter le pouvoir de marché des géants de la technologie comme Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft.
La loi, appelée Digital Markets Act, est la politique numérique la plus radicale depuis que le bloc a mis en vigueur les règles les plus strictes au monde pour protéger les données en ligne des personnes en 2018. La législation vise à empêcher les plus grandes plateformes technologiques d'utiliser leurs services et leurs ressources considérables pour enfermer les utilisateurs et écraser les rivaux émergents, favorisant une plus grande concurrence et l'arrivée de nouveaux entrants.
Apple par exmeple, serait obligé d'ouvrir son App Store aux options de paiement de tiers au lieu d'obliger les utilisateurs à utiliser le propre système de paiement d'Apple. Google sera invité à proposer aux utilisateurs de smartphones fonctionnant sur le système d'exploitation Android de l'entreprise des alternatives à son moteur de recherche, à l'application Google Maps ou à son navigateur Chrome.
Les cibles de la loi incluent WhatsApp, Facebook Messenger, iMessage, l'App Store, Google Play et de nombreux autres services appartenant à de grandes entreprises technologiques.
Les nouvelles règles soulignent à quel point l'Europe est devenue un leader mondial dans les efforts visant à limiter le pouvoir des entreprises technologiques par une vague d'enquêtes antitrust, des réglementations strictes sur la confidentialité des données et des propositions de règles pour des domaines tels que l'intelligence artificielle.
Trois ans après qu'une loi européenne sur la protection de la vie privée a forcé les grandes technologies à revoir leur façon de traiter les données des utilisateurs, les législateurs européens se sont mis d'accord sur une nouvelle législation radicale pour limiter le pouvoir de marché des géants de la technologie comme Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft.