Quelques semaines après le SRI qui tirait un bilan contrasté mais positif pour la publicité digitale, c’est au tour du BUMP, le baromètre unifié du marché publicitaire (BUMP), réalisé chaque année par France Pub, Kantar et l’Irep, de dévoiler les chiffres 2020 pour l’ensemble du secteur de la communication.
Selon ses concepteurs, la filière communication a connu une baisse sans précédent de -11,4% en 2020, pour réaliser un chiffre d’affaires total de 13,337 milliards d’euros. Le périmètre des 5 médias (télévision, cinéma, radio, presse, publicité extérieure) avec internet, recule pour sa part -9,4% en 2020.
« Tous les médias mesurés dans le périmètre IREP sont en régression, il s’agit d’une répercussion directe de la crise sanitaire qui a affecté la dynamique du marché publicitaire. Dans ce contexte baissier, certains médias tirent mieux leur épingle du jeu en fonction de la nature de leur média, de la structure de leur portefeuille publicitaire, et de l’incidence des périodes de confinement qui ont été plus ou moins impactantes selon les médias. » expliquent les trois partenaires, qui parient toutefois sur un fort rebond du marché en 2021.
Le digital des médias télévision, radio et presse affiche pour sa part une baisse très contenue à -2,4% en 2020 par rapport à 2019, soit 423 millions d’euros, et si on y ajoute le DOOH (Digital Out Of Home) particulièrement affecté par la crise en 2020, la baisse est de -15,2% soit 545 millions d’euros.
Selon ses concepteurs, la filière communication a connu une baisse sans précédent de -11,4% en 2020, pour réaliser un chiffre d’affaires total de 13,337 milliards d’euros. Le périmètre des 5 médias (télévision, cinéma, radio, presse, publicité extérieure) avec internet, recule pour sa part -9,4% en 2020.
« Tous les médias mesurés dans le périmètre IREP sont en régression, il s’agit d’une répercussion directe de la crise sanitaire qui a affecté la dynamique du marché publicitaire. Dans ce contexte baissier, certains médias tirent mieux leur épingle du jeu en fonction de la nature de leur média, de la structure de leur portefeuille publicitaire, et de l’incidence des périodes de confinement qui ont été plus ou moins impactantes selon les médias. » expliquent les trois partenaires, qui parient toutefois sur un fort rebond du marché en 2021.
Le digital des médias télévision, radio et presse affiche pour sa part une baisse très contenue à -2,4% en 2020 par rapport à 2019, soit 423 millions d’euros, et si on y ajoute le DOOH (Digital Out Of Home) particulièrement affecté par la crise en 2020, la baisse est de -15,2% soit 545 millions d’euros.