BI Intelligence est un service d'analyse du marché américain, émanation payante du site Business Insider. Dans son effort pour promouvoir ses services, le site BI Intelligence propose de télécharger une étude sur la confrontation entre HTML5 et Apps, sujet récurrent dans les services mobiles en France et ailleurs.
Attention, le site mentionne bien que pour bénéficier de l'inscription gratuite, il faut néanmoins y laisser son numéro de carte bleue et penser à se désinscrire avant la fin du mois.
En résumé, et à la très très grosse louche on dira: que la différence majeure entre le HTML5 et l'application, est que le premier est hébergé sur le web et non dans le magasin d'un équipementier téléphonique. On dira aussi que les services développés en HTML5 ne doivent pas être reconstruits complètement OS par OS au moment de "lire" le service sur un nouveau terminal. Le gros gros credo des développeurs en HTML5 est: "Write once, run anywhere" qu'on pourrait traduire par "codé une fois, accessible partout".
Mais contrairement à ce que pensent de nombreux développeurs, l'HTML5 n'est pas le saint Graal du développement multiplateformes. En effet si le HTML5 permet de faire aussi bien graphiquement ou fonctionnellement qu'une approche "native", on constate cependant souvent que l'approche OS par OS et in-App permettent pourtant d'aller plus loin avec certaines fonctionnalités intégrées au téléphone (gestion du carnet d'adresse, du NFC, du bluetooth, de la localisation...)
Pour l'anecdote, on signalera que Facebook par exemple, avait d'abord utilisé une approche complètement HTML5 encapsulée dans une coquille iPhone, Androïd, Blackberry... Mais que la société de Zuckerberg a revu début 2013 son approche du multi terminal. Justement pour "communiquer" plus efficacement avec les fonctionnalités du téléphone. Désormais, le réseau social a développé OS par OS, même si la firme continue de s'appuyer sur certains développements standardisés en HTML5. En plus de l'accès facilité aux fonctionnalités du téléphone, les temps de réponse de la démarche OS par Os et la stabilité générale du Ad Hoc ont fini de convaincre les équipes de développement de la firme.
Attention, le site mentionne bien que pour bénéficier de l'inscription gratuite, il faut néanmoins y laisser son numéro de carte bleue et penser à se désinscrire avant la fin du mois.
En résumé, et à la très très grosse louche on dira: que la différence majeure entre le HTML5 et l'application, est que le premier est hébergé sur le web et non dans le magasin d'un équipementier téléphonique. On dira aussi que les services développés en HTML5 ne doivent pas être reconstruits complètement OS par OS au moment de "lire" le service sur un nouveau terminal. Le gros gros credo des développeurs en HTML5 est: "Write once, run anywhere" qu'on pourrait traduire par "codé une fois, accessible partout".
Mais contrairement à ce que pensent de nombreux développeurs, l'HTML5 n'est pas le saint Graal du développement multiplateformes. En effet si le HTML5 permet de faire aussi bien graphiquement ou fonctionnellement qu'une approche "native", on constate cependant souvent que l'approche OS par OS et in-App permettent pourtant d'aller plus loin avec certaines fonctionnalités intégrées au téléphone (gestion du carnet d'adresse, du NFC, du bluetooth, de la localisation...)
Pour l'anecdote, on signalera que Facebook par exemple, avait d'abord utilisé une approche complètement HTML5 encapsulée dans une coquille iPhone, Androïd, Blackberry... Mais que la société de Zuckerberg a revu début 2013 son approche du multi terminal. Justement pour "communiquer" plus efficacement avec les fonctionnalités du téléphone. Désormais, le réseau social a développé OS par OS, même si la firme continue de s'appuyer sur certains développements standardisés en HTML5. En plus de l'accès facilité aux fonctionnalités du téléphone, les temps de réponse de la démarche OS par Os et la stabilité générale du Ad Hoc ont fini de convaincre les équipes de développement de la firme.
Opposer les antagonismes
Quels sont les oppositions APP >< HTML 5 abordées par BI Intelligence dans son rapport soumis à inscription (je répète pour que vous soyez sûrs d'être prévenus)?
Je me permets de vous traduire le tableau original. Il apporte quelques arguments pour justifier plutôt d'une technologie ou de l'autre, auprès de votre chaîne de hiérarchie et de décision.
Pour récupérer toute l'étude, rendez-vous sur le site, mais attention à l'abonnement automatique en fin de mois
Je me permets de vous traduire le tableau original. Il apporte quelques arguments pour justifier plutôt d'une technologie ou de l'autre, auprès de votre chaîne de hiérarchie et de décision.
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