Accueil3e édition: continuité dans l'approche de la réalité de marché.
C'est la 3e édition des app Days à Paris. Peux-tu tout d'abord me "pitcher" l'objet de ces deux jours de conférences et de présentation?
L'objectif d'AppDays est de proposer un panel de conférences de qualité. Nous choisissons des orateurs qui travaillent dans le milieu des apps, au quotidien. Il n'y a pas d'agence, pas de speaker professionnel, ni de personnes qui ne sont pas sur le terrain au quotidien.
Par ailleurs nous essayons de tout mettre en place pour que les participants pour réseauter dans les meilleures conditions autour d'un café ou d'un buffet déjeuner.
3e édition, c'est donc un événement assez "jeune" dans le paysage des salons professionnels autour du mobile en France. Dans un panorama qui va de LeWeb à LeMobile, en passant par Mobility for business et autres salons, quel angle différent penses-tu aborder avec cette double journée de conférences.
Nous proposons des conférences concrètes et en français. Ces conférences sont choisies pour apporter quelque chose d'utile à l'audience. Les speakers n'ont rien à vendre, ils viennent partager leur expérience, leurs erreurs et leurs trouvailles en toute honnêteté avec les participants.
De plus nous avons aussi un angle technique. Toutes les conférences ne sont pas techniques, mais certaines le sont. Nous essayons de couvrir toutes les problématiques clés qui sont liées à la création et la publication d'une app mobile.
En regardant le programme de conférences, ainsi que les intervenants annoncés, je constate une orientation très "métier", plutôt que de balayer des concepts parfois très (trop?) larges, ou très prospectifs abordés dans les autres conférences. Je me trompe?
Oui voilà c'est ça. Etant moi même assez client des autres conférences, je remarque, avec d'autres, que je ne passe pas une minute dans les salles. Car souvent ce sont des conférences commerciales ou "haut niveau" qui n'apprennent finalement pas grand chose. Au moins parfois (pas tout le temps, heureusement).
Mais dans notre événement, nous voulons que toutes les conférences soient qualitatives. Et nous n'avons que 2 "tracks" (NDLR > ou espaces de conférences: la salle plénière et les ateliers) pour limiter le choix au maximum et nous concentrer sur la qualité. Et même malgré ça, certains participants de la précédente édition regrettent de ne pas avoir pu tout voir...
L'objectif d'AppDays est de proposer un panel de conférences de qualité. Nous choisissons des orateurs qui travaillent dans le milieu des apps, au quotidien. Il n'y a pas d'agence, pas de speaker professionnel, ni de personnes qui ne sont pas sur le terrain au quotidien.
Par ailleurs nous essayons de tout mettre en place pour que les participants pour réseauter dans les meilleures conditions autour d'un café ou d'un buffet déjeuner.
3e édition, c'est donc un événement assez "jeune" dans le paysage des salons professionnels autour du mobile en France. Dans un panorama qui va de LeWeb à LeMobile, en passant par Mobility for business et autres salons, quel angle différent penses-tu aborder avec cette double journée de conférences.
Nous proposons des conférences concrètes et en français. Ces conférences sont choisies pour apporter quelque chose d'utile à l'audience. Les speakers n'ont rien à vendre, ils viennent partager leur expérience, leurs erreurs et leurs trouvailles en toute honnêteté avec les participants.
De plus nous avons aussi un angle technique. Toutes les conférences ne sont pas techniques, mais certaines le sont. Nous essayons de couvrir toutes les problématiques clés qui sont liées à la création et la publication d'une app mobile.
En regardant le programme de conférences, ainsi que les intervenants annoncés, je constate une orientation très "métier", plutôt que de balayer des concepts parfois très (trop?) larges, ou très prospectifs abordés dans les autres conférences. Je me trompe?
Oui voilà c'est ça. Etant moi même assez client des autres conférences, je remarque, avec d'autres, que je ne passe pas une minute dans les salles. Car souvent ce sont des conférences commerciales ou "haut niveau" qui n'apprennent finalement pas grand chose. Au moins parfois (pas tout le temps, heureusement).
Mais dans notre événement, nous voulons que toutes les conférences soient qualitatives. Et nous n'avons que 2 "tracks" (NDLR > ou espaces de conférences: la salle plénière et les ateliers) pour limiter le choix au maximum et nous concentrer sur la qualité. Et même malgré ça, certains participants de la précédente édition regrettent de ne pas avoir pu tout voir...
Un public de spécialistes, des orateurs spécialisés.
En étant très prudent, quel est selon toi le public cible, ou plutôt le profil type de l'auditeur de tes deux journées de conférence?
Il y a plusieurs profils mais on reste sur des professionnels des apps et du web. Des développeurs, des chefs de projet, de produit, des entrepreneurs, des entreprises qui veulent prendre le tournant mobile de la bonne façon. C'est aussi une des forces de l'événement, la mixité des participants malgré leur objectif commun : faire de meilleures apps.
On sait en général que dans ces rassemblement métiers, le business se fait dans les "allées", en marge des conférences. IBM vous fournit le lieu de conférence... Quel est le cercle vertueux que tu proposes à tes visiteurs, à tes mécènes? Quel est la valeur que tu mets en avant pour chacun de tes publics: visiteurs, orateurs, annonceurs?
Nous avons des partenaires et des exposants: IBM en fait partie. On pourrait citer aussi Microsoft, Amazon, Facebook et bien d'autres. Nous avons aussi pas mal de partenaires presse comme le JDN, Presse-Citron, BFM et d'autres.
Le tout est d'arriver à faire se rencontrer tout ce monde. Car les participants veulent parler aux géants technologiques que j'ai cité. Ils veulent aussi découvrir de nouvelles solutions.
Mais ils veulent aussi utiliser l'occasion offerte par les App Days pour parler à la presse, présenter leurs propres nouveautés liées au mobile, à un public de spécialistes du genre.
Enfin les exposants et les partenaires veulent toucher cette audience de qualité composée de développeurs, d'entrepreneurs et de responsables mobiles.
Si tu ne devais retenir qu'un enseignement de l'édition précédente, que vous pensez avoir amélioré cette année, quel serait-il?
Que le choix de faire des conférences de qualité paye. Toute cette partie éditoriale est complexe, et risquée parfois, mais au final c'est notre marque de fabrique. Mais c'est un éternel recommencement et une amélioration continue !
Il y a plusieurs profils mais on reste sur des professionnels des apps et du web. Des développeurs, des chefs de projet, de produit, des entrepreneurs, des entreprises qui veulent prendre le tournant mobile de la bonne façon. C'est aussi une des forces de l'événement, la mixité des participants malgré leur objectif commun : faire de meilleures apps.
On sait en général que dans ces rassemblement métiers, le business se fait dans les "allées", en marge des conférences. IBM vous fournit le lieu de conférence... Quel est le cercle vertueux que tu proposes à tes visiteurs, à tes mécènes? Quel est la valeur que tu mets en avant pour chacun de tes publics: visiteurs, orateurs, annonceurs?
Nous avons des partenaires et des exposants: IBM en fait partie. On pourrait citer aussi Microsoft, Amazon, Facebook et bien d'autres. Nous avons aussi pas mal de partenaires presse comme le JDN, Presse-Citron, BFM et d'autres.
Le tout est d'arriver à faire se rencontrer tout ce monde. Car les participants veulent parler aux géants technologiques que j'ai cité. Ils veulent aussi découvrir de nouvelles solutions.
Mais ils veulent aussi utiliser l'occasion offerte par les App Days pour parler à la presse, présenter leurs propres nouveautés liées au mobile, à un public de spécialistes du genre.
Enfin les exposants et les partenaires veulent toucher cette audience de qualité composée de développeurs, d'entrepreneurs et de responsables mobiles.
Si tu ne devais retenir qu'un enseignement de l'édition précédente, que vous pensez avoir amélioré cette année, quel serait-il?
Que le choix de faire des conférences de qualité paye. Toute cette partie éditoriale est complexe, et risquée parfois, mais au final c'est notre marque de fabrique. Mais c'est un éternel recommencement et une amélioration continue !
Google pourrait remplacer chromeOS par Android pour rivaliser avec l’iPad
