Selon un sondage réalisée par TheTradeDesk, seul un tiers (34 %) des Français déclare savoir comment Internet est financé, près de la moitié (48 %) ne réalisant pas que la publicité est une source de revenu majeure pour les éditeurs en ligne.
L'étude révèle que 1 personne sur 10 (13 %) pense que ce sont les FAI (fournisseurs d'accès à Internet). 1 personne sur 20 (4%) estime que c'est grâce aux taxes qu'Internet trouve ses fonds, tandis que le même pourcentage pense qu’Internet ne coûte rien du tout aux éditeurs. Deux tiers des Français (66 %) affirment n'avoir aucune idée du financement d’Internet.
Une méconnaissance qui met en danger la gratuité de l’Internet. The Trade Desk appelle le secteur de la publicité à sensibiliser les consommateurs mais surtout à construire une nouvelle solution d'identité indépendante et sans cookie.
L'étude révèle que 1 personne sur 10 (13 %) pense que ce sont les FAI (fournisseurs d'accès à Internet). 1 personne sur 20 (4%) estime que c'est grâce aux taxes qu'Internet trouve ses fonds, tandis que le même pourcentage pense qu’Internet ne coûte rien du tout aux éditeurs. Deux tiers des Français (66 %) affirment n'avoir aucune idée du financement d’Internet.
« Pendant trop longtemps, les consommateurs ont été assaillis de pop-ups de consentement qui ne communiquent pas clairement l'échange de valeur sur lequel les éditeurs comptent pour fournir aux utilisateurs un contenu gratuit de qualité. Cette absence d’information est préjudiciable et, si elle n'est pas corrigée, aura des conséquences irréversibles pour les éditeurs et leur capacité à survivre. » explique François-Xavier Le Ray, Managing Director France et Belgique de The Trade Desk.
Une méconnaissance qui met en danger la gratuité de l’Internet. The Trade Desk appelle le secteur de la publicité à sensibiliser les consommateurs mais surtout à construire une nouvelle solution d'identité indépendante et sans cookie.
« Ce système open-source créera une cohérence sur Internet, en offrant une solution d'identité pour simplifier la navigation tout en expliquant clairement aux consommateurs la valeur de l'échange » précise François-Xavier Le Ray.