Les sanctions de la Maison Blanche contre Huawei pourraient-elles se retourner contre les USA ? Parallèlement au lancement d’Harmony OS, un système d’exploitation mobile concurrent d’Android, le constructeur chinois travaille sur de nouveaux processeurs RISC-V, pouvant remplacer ls puces ARM.
Faute de pouvoir travailler sur des System-on-a-Chip (SoC) basés sur la technologie ARM, la filiale HiSilicon de Huawei a en effet décidé d’accélérer ses travaux sur l’architecture RISC-V, libre de droits.
Concrètement, HiSilicon a dévoilé sa Hi3861, une carte de développement embarquant un processeur 32 bits, gravé en 5 nm, avec une fréquence de 160 Mhz, qui pourrait d’abord être utilisée pour faire fonctionner des objets connectés.
Mais cette première carte préfigure de futurs SoC, toujours basés sur RISC-V, destinés à propulser les futurs smartphones Harmony OS de Huawei.
Fragilisé par les sanctions américaines, le groupe chinois pourrait finalement retourner la situation à son avantage, en disposant de smartphones « souverains », non seulement made in china, mais reposant sur des logiciels ou des processeurs 100% chinois.
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Faute de pouvoir travailler sur des System-on-a-Chip (SoC) basés sur la technologie ARM, la filiale HiSilicon de Huawei a en effet décidé d’accélérer ses travaux sur l’architecture RISC-V, libre de droits.
Concrètement, HiSilicon a dévoilé sa Hi3861, une carte de développement embarquant un processeur 32 bits, gravé en 5 nm, avec une fréquence de 160 Mhz, qui pourrait d’abord être utilisée pour faire fonctionner des objets connectés.
Mais cette première carte préfigure de futurs SoC, toujours basés sur RISC-V, destinés à propulser les futurs smartphones Harmony OS de Huawei.
Fragilisé par les sanctions américaines, le groupe chinois pourrait finalement retourner la situation à son avantage, en disposant de smartphones « souverains », non seulement made in china, mais reposant sur des logiciels ou des processeurs 100% chinois.
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