Dans quelques semaines, cela fera deux ans qu'Elon Musk a racheté Twitter, rebaptisé X, pour 44 milliards de dollars, un investissement qui s’avère désastreux d’un point de vue financier.
Les banques ayant prêté 13 milliards de dollars à Musk, parmi lesquelles Morgan Stanley, Bank of America, Barclays, BNP Paribas et Société Générale, se retrouvent aujourd'hui exposées à des pertes potentielles de 4 milliards de dollars.
Habituellement, ces institutions financières revendent rapidement les dettes liées à ce type de transaction à d'autres investisseurs. Cependant, la chute de la valeur de X et les faibles performances financières de l’entreprise les ont empêchées de se délester de cette dette, qu’elles doivent désormais conserver dans leurs bilans.
L’acquisition de X a également nui à la réputation de la plateforme. De nombreuses marques majeures, telles qu’Apple, Disney et IBM, ont cessé de diffuser leurs publicités sur le réseau en raison de préoccupations liées à la modération des contenus. Avec 90 % des revenus de X provenant de la publicité, ce retrait massif d’annonceurs a eu un impact dévastateur sur les finances de l’entreprise. Selon une étude de Statista, les revenus publicitaires de X ont chuté de 30 % entre 2022 et 2023, et cette tendance devrait se poursuivre avec une baisse prévue de 6 % en 2024.
D’ici 2027, l’analyse prédit une dégringolade totale de 42 % des revenus publicitaires de X sur cinq ans, avec des bénéfices projetés à seulement 2,7 milliards de dollars. X devient ainsi le seul réseau social majeur à subir une telle chute dans ses recettes publicitaires, un signe alarmant pour l'avenir de l'entreprise sous la direction de Musk.
Les banques ayant prêté 13 milliards de dollars à Musk, parmi lesquelles Morgan Stanley, Bank of America, Barclays, BNP Paribas et Société Générale, se retrouvent aujourd'hui exposées à des pertes potentielles de 4 milliards de dollars.
Habituellement, ces institutions financières revendent rapidement les dettes liées à ce type de transaction à d'autres investisseurs. Cependant, la chute de la valeur de X et les faibles performances financières de l’entreprise les ont empêchées de se délester de cette dette, qu’elles doivent désormais conserver dans leurs bilans.
L’acquisition de X a également nui à la réputation de la plateforme. De nombreuses marques majeures, telles qu’Apple, Disney et IBM, ont cessé de diffuser leurs publicités sur le réseau en raison de préoccupations liées à la modération des contenus. Avec 90 % des revenus de X provenant de la publicité, ce retrait massif d’annonceurs a eu un impact dévastateur sur les finances de l’entreprise. Selon une étude de Statista, les revenus publicitaires de X ont chuté de 30 % entre 2022 et 2023, et cette tendance devrait se poursuivre avec une baisse prévue de 6 % en 2024.
D’ici 2027, l’analyse prédit une dégringolade totale de 42 % des revenus publicitaires de X sur cinq ans, avec des bénéfices projetés à seulement 2,7 milliards de dollars. X devient ainsi le seul réseau social majeur à subir une telle chute dans ses recettes publicitaires, un signe alarmant pour l'avenir de l'entreprise sous la direction de Musk.