WhatsApp sur iOS se lance dans la voie de l'interopérabilité en prévision des futures exigences de Bruxelles. Dans la dernière version bêta de l'application, une section a été activée pour recueillir les messages des services qui accepteront cette compatibilité imposée aux grandes plateformes en Europe. Bien que la version Android ait dévoilé ce projet en septembre dernier, la version iOS reste discrète quant aux détails.
Cette ouverture de WhatsApp pourrait nécessiter du temps avant de devenir une réalité pour les utilisateurs. Bruxelles accorde deux ans aux éditeurs concernés pour mettre en place un premier niveau d'interopérabilité. Celui-ci comprend l'échange de messages textuels chiffrés de bout en bout, ainsi que le partage d'images, de messages vocaux, de vidéos et de fichiers entre un groupe et un utilisateur individuel.
Le deuxième niveau, à atteindre sous quatre ans, implique le fonctionnement des appels vocaux et vidéo entre différentes plateformes. Tout en permettant à chaque service de conserver ses spécificités, tels que les autocollants ou les effets visuels ajoutés aux messages.
Bien que les développeurs aient la possibilité d'accélérer le processus, cela dépendra également de la volonté d'autres services à utiliser les nouvelles API. Si des services comme Telegram ou Signal choisissent de ne pas interagir avec WhatsApp, ils ne sont pas obligés de le faire. De même, l'exploitation des API peut être refusée si le créateur estime que les conditions de sécurité ne sont pas remplies.
Cette ouverture de WhatsApp pourrait nécessiter du temps avant de devenir une réalité pour les utilisateurs. Bruxelles accorde deux ans aux éditeurs concernés pour mettre en place un premier niveau d'interopérabilité. Celui-ci comprend l'échange de messages textuels chiffrés de bout en bout, ainsi que le partage d'images, de messages vocaux, de vidéos et de fichiers entre un groupe et un utilisateur individuel.
Le deuxième niveau, à atteindre sous quatre ans, implique le fonctionnement des appels vocaux et vidéo entre différentes plateformes. Tout en permettant à chaque service de conserver ses spécificités, tels que les autocollants ou les effets visuels ajoutés aux messages.
Bien que les développeurs aient la possibilité d'accélérer le processus, cela dépendra également de la volonté d'autres services à utiliser les nouvelles API. Si des services comme Telegram ou Signal choisissent de ne pas interagir avec WhatsApp, ils ne sont pas obligés de le faire. De même, l'exploitation des API peut être refusée si le créateur estime que les conditions de sécurité ne sont pas remplies.