Twitter intensifie sa lutte contre la désinformation avec une nouvelle politique réprimant les publications qui diffusent de fausses histoires potentiellement dangereuses. Ce changement fait partie d'un effort plus large visant à promouvoir des informations exactes en période de conflit ou de crise.
La nouvelle politique de désinformation sur la crise de la plateforme est conçue pour ralentir la propagation des mensonges viraux lors de catastrophes naturelles, de conflits armés et d'urgences de santé publique, a annoncé la société.
Par exemple, la politique interdit les allégations « manifestement fausses » ou trompeuses de crimes de guerre ciblés ; de fausses informations sur des événements se déroulant sur le terrain au milieu d'un conflit ; et de fausses déclarations sur l'utilisation d'armes.
Le réseau social pourra afficher des avertissements sur certains tweets jugés trompeurs. Il commencera à analyser les messages sur la guerre en Ukraine, puis s'étendra à d'autres sujets.
Cette nouvelle politique révélée par Twitter vise à endiguer la propagation de fausses informations. Le réseau ne veut pas nuire davantage aux communautés déjà vulnérables. Il souhaite également maintenir la confiance dans les institutions qui luttent contre le partage de déclarations trompeuses.
La nouvelle politique de désinformation sur la crise de la plateforme est conçue pour ralentir la propagation des mensonges viraux lors de catastrophes naturelles, de conflits armés et d'urgences de santé publique, a annoncé la société.
Par exemple, la politique interdit les allégations « manifestement fausses » ou trompeuses de crimes de guerre ciblés ; de fausses informations sur des événements se déroulant sur le terrain au milieu d'un conflit ; et de fausses déclarations sur l'utilisation d'armes.
Le réseau social pourra afficher des avertissements sur certains tweets jugés trompeurs. Il commencera à analyser les messages sur la guerre en Ukraine, puis s'étendra à d'autres sujets.
Cette nouvelle politique révélée par Twitter vise à endiguer la propagation de fausses informations. Le réseau ne veut pas nuire davantage aux communautés déjà vulnérables. Il souhaite également maintenir la confiance dans les institutions qui luttent contre le partage de déclarations trompeuses.