Un collectif de sept familles, nommé Algos Victima, a déposé une plainte contre TikTok devant le tribunal de Créteil, accusant la plateforme d'avoir contribué à la dégradation de la santé mentale de leurs adolescentes.
Selon leur avocate, Laure Boutron-Marmion, le réseau social, qui compte 21 millions d'utilisateurs en France, aurait exposé les jeunes à des contenus nocifs favorisant l'anorexie, l'automutilation et le suicide. Deux adolescentes se sont suicidées, quatre ont tenté de le faire, et une a développé des troubles alimentaires.
Le collectif estime que l’algorithme de TikTok promeut des vidéos violentes après des recherches sur l'alimentation ou l'image de soi, amplifiant ainsi la souffrance des jeunes utilisateurs.
Un père témoigne de sa stupeur, soulignant que la plateforme, en apparence inoffensive, abrite des contenus explicites sur l’automutilation. Bien que TikTok affirme fournir un « environnement sûr et bienveillant » et offrir des ressources pour le bien-être numérique, les familles jugent ces mesures insuffisantes.
La plainte vise à prouver que TikTok a failli dans sa modération des contenus. L’avocate du collectif pointe l'impact destructeur de l’algorithme, qui noie les adolescents en difficulté sous des vidéos mortifères, accentuant leur mal-être. En avril, elle expliquait déjà que l'aspect addictif de TikTok enferme les jeunes dans un cercle vicieux qui aggrave leur état mental.
Des préoccupations similaires ont été soulevées ailleurs, notamment au Royaume-Uni, où la plateforme a été jugée après le suicide d'une adolescente de 14 ans. Mais jusqu'à présent, les géants du numérique ne sont pas reconnus comme responsables des contenus publiés par leurs utilisateurs.
Selon leur avocate, Laure Boutron-Marmion, le réseau social, qui compte 21 millions d'utilisateurs en France, aurait exposé les jeunes à des contenus nocifs favorisant l'anorexie, l'automutilation et le suicide. Deux adolescentes se sont suicidées, quatre ont tenté de le faire, et une a développé des troubles alimentaires.
Le collectif estime que l’algorithme de TikTok promeut des vidéos violentes après des recherches sur l'alimentation ou l'image de soi, amplifiant ainsi la souffrance des jeunes utilisateurs.
Un père témoigne de sa stupeur, soulignant que la plateforme, en apparence inoffensive, abrite des contenus explicites sur l’automutilation. Bien que TikTok affirme fournir un « environnement sûr et bienveillant » et offrir des ressources pour le bien-être numérique, les familles jugent ces mesures insuffisantes.
La plainte vise à prouver que TikTok a failli dans sa modération des contenus. L’avocate du collectif pointe l'impact destructeur de l’algorithme, qui noie les adolescents en difficulté sous des vidéos mortifères, accentuant leur mal-être. En avril, elle expliquait déjà que l'aspect addictif de TikTok enferme les jeunes dans un cercle vicieux qui aggrave leur état mental.
Des préoccupations similaires ont été soulevées ailleurs, notamment au Royaume-Uni, où la plateforme a été jugée après le suicide d'une adolescente de 14 ans. Mais jusqu'à présent, les géants du numérique ne sont pas reconnus comme responsables des contenus publiés par leurs utilisateurs.