Directeur d'Adyen France, Philippe de Passorio était sur le salon E-Commerce 1to1 Monaco pour présenter cette plate-forme de paiement, d'origine néerlandaise aux ambitions mondiales. Pensée pour être omnicanal, Adyen fonctionne aussi bien avec les terminaux de paiement en boutique qu'avec de nouvelles solutions mobiles telles qu'Apple Pay en France ou WeChat en Asie.
Adyen, une fintech européenne ?
PdP - Oui, Adyen est une Fintech d'origine européenne mais aux ambitions globales. Nous sommes peu médiatisés et pourtant, en 2016, près d'un cyberconsommateur sur trois est passé par notre plate-forme qui travaille avec des commerçants aussi variés que Uber, ChauffeurPrivée, LeCab, ShowRoomPrivée, VestiaireCollective ou les boutiques Celio.
La force d'Adyen, c'est sa dimension internationale ?
Oui, pour un e-commerçant, c'est très compliqué de lancer ses activités dans un nouveau pays. Il faut bien souvent signer un contrat avec une banque locale, avec un prestataire de service de paiement (PSP), des moyens, de paiement, etc… Et chaque pays a ses particularités. En Hollande par exemple, 70% du marché est contrôlé par HighDeal (ndlr : racheté par SAP), loin devant Visa ou Mastercard.
Nous avons réalisé ce travail de sourcing de l'ensemble de ces solutions et en signant un seul contrat avec Adyen , les e-commerçants peuvent facilement lancer leurs activités à l'international en gagnant un temps précieux.
Redoutez vous la concurrence d'acteurs du paiement mobile ?
Au contraire, le mobile renforce notre plate-forme qui a été conçue pour être omnicanale. Les commerçants peuvent décider de brancher un paiement mobile, un terminal de paiement NFC ou un site m-commerce et ont immédiatement accès, en temps réel, à toutes les transactions réalisées avec les consommateurs.
Nous avons la chance de travailler depuis déjà plusieurs années avec WeChat, une messagerie mobile qui compte 700 millions d'utilisateurs dont 200 millions ont ajouté leur compte bancaire. Grâce à Adyen, les commerçants peuvent toucher les shopper asiatiques, y compris quand ils viennent faire du tourisme en France . Notre plate-forme accueille les principales solutions asiatiques (Alipay, Wechat Pay, …) mais également les solutions américaines comme Apple Play.
Adyen, une fintech européenne ?
PdP - Oui, Adyen est une Fintech d'origine européenne mais aux ambitions globales. Nous sommes peu médiatisés et pourtant, en 2016, près d'un cyberconsommateur sur trois est passé par notre plate-forme qui travaille avec des commerçants aussi variés que Uber, ChauffeurPrivée, LeCab, ShowRoomPrivée, VestiaireCollective ou les boutiques Celio.
La force d'Adyen, c'est sa dimension internationale ?
Oui, pour un e-commerçant, c'est très compliqué de lancer ses activités dans un nouveau pays. Il faut bien souvent signer un contrat avec une banque locale, avec un prestataire de service de paiement (PSP), des moyens, de paiement, etc… Et chaque pays a ses particularités. En Hollande par exemple, 70% du marché est contrôlé par HighDeal (ndlr : racheté par SAP), loin devant Visa ou Mastercard.
Nous avons réalisé ce travail de sourcing de l'ensemble de ces solutions et en signant un seul contrat avec Adyen , les e-commerçants peuvent facilement lancer leurs activités à l'international en gagnant un temps précieux.
Redoutez vous la concurrence d'acteurs du paiement mobile ?
Au contraire, le mobile renforce notre plate-forme qui a été conçue pour être omnicanale. Les commerçants peuvent décider de brancher un paiement mobile, un terminal de paiement NFC ou un site m-commerce et ont immédiatement accès, en temps réel, à toutes les transactions réalisées avec les consommateurs.
Nous avons la chance de travailler depuis déjà plusieurs années avec WeChat, une messagerie mobile qui compte 700 millions d'utilisateurs dont 200 millions ont ajouté leur compte bancaire. Grâce à Adyen, les commerçants peuvent toucher les shopper asiatiques, y compris quand ils viennent faire du tourisme en France . Notre plate-forme accueille les principales solutions asiatiques (Alipay, Wechat Pay, …) mais également les solutions américaines comme Apple Play.
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