Lee Jae-yong est accusé de corruption, de parjure et de détournement de fonds, rapporte Bloomberg. Lee avait été placé dans un centre de détention suite à des audiences devant les tribunaux, sur des allégations selon lesquelles Samsung aurait fourni jusqu'à 43 milliards de won (38 millions de dollars) en échange de faveurs gouvernementales, en particulier lors de la fusion de deux filiales de la marque. L'affaire est liée à la mise en accusation du président de la Corée du Sud, Park Geun-hye, en décembre dernier.
À l'audience, Lee a nié avoir recherché des faveurs politiques ou un soutien pour sa fusion en échange de cadeau.
Lee est devenu le chef de facto de Samsung après que son père, ancien président de la compagnie, ait été hospitalisé en 2014 après une crise cardiaque. Selon Bloomberg, un procès et un verdict pourraient prendre jusqu'à 18 mois.
À l'audience, Lee a nié avoir recherché des faveurs politiques ou un soutien pour sa fusion en échange de cadeau.
Lee est devenu le chef de facto de Samsung après que son père, ancien président de la compagnie, ait été hospitalisé en 2014 après une crise cardiaque. Selon Bloomberg, un procès et un verdict pourraient prendre jusqu'à 18 mois.