Intel a enregistré une perte de 500 millions de dollars au deuxième trimestre 2022. Il s'agit de la première perte trimestrielle que la société a connue depuis des décennies. La société a vu ses revenus chuter dans son groupe Client Computing (propriété de 25 %), Datacenter et AI Group (en baisse de 16 %) et Intel Foundry Services (en baisse de 54 %).
Le chiffre d'affaires global, la marge brute, la marge d'exploitation, le bénéfice net et le bénéfice par action d'Intel ont également diminué par rapport au deuxième trimestre 2021.
Le chiffre d'affaires global, la marge brute, la marge d'exploitation, le bénéfice net et le bénéfice par action d'Intel ont également diminué par rapport au deuxième trimestre 2021.
Le PDG d'Intel, Pat Gelsinger, a déclaré que les résultats étaient décevants, "les résultats de ce trimestre étaient inférieurs aux normes que nous avons fixées pour la société et nos actionnaires", a déclaré Gelsinger.
Les effets de la pandémie et de la guerre en Ukraine commencent à se faire sentir pour les marques. Intel, comme Meta et d'autres grands groupes technologiques, a annoncé des chiffres dans le rouge pour ce second semestre. Avec des revenus totaux de 15,3 milliards de dollars sur les derniers mois, le constructeur affiche une baisse de 17% par rapport à l'année précédente, 22% par rapport au début de l'année.
Dans ses déclarations préparées, le directeur financier David Zinsner a expliqué les baisses, affirmant qu'un ralentissement lié au covid-19 pire que prévu était en partie responsable de la baisse de la demande des consommateurs. Sur le plan économique, Zinsner a déclaré qu'une combinaison de hausse de l'inflation, de taux d'intérêt plus élevés et d'effets en aval de la guerre en Ukraine avait particulièrement touché l'entreprise.
Dans ses déclarations préparées, le directeur financier David Zinsner a expliqué les baisses, affirmant qu'un ralentissement lié au covid-19 pire que prévu était en partie responsable de la baisse de la demande des consommateurs. Sur le plan économique, Zinsner a déclaré qu'une combinaison de hausse de l'inflation, de taux d'intérêt plus élevés et d'effets en aval de la guerre en Ukraine avait particulièrement touché l'entreprise.