Succès planétaire, l'iPhone attire également les développeurs de malware. Editeurs de logiciels de sécurité, Sophos vient d'identifier "Ikee", un ver conçu par un jeune informaticien de 21 ans et remplaçant l'écran de veille de l'iPhone par une photo de Rick Astley, ex gloire australienne des années 80...
"Ce ver, dont la diffusion semble pour l’instant se limiter à l’Australie, ne peut s’introduire dans un mobile débridé que si son propriétaire n’a pas modifié le mot de passe par défaut (« alpine ») après avoir activé le SSH (programme d’accès à distance). Une fois installé, le virus tente de trouver d’autres iPhones vulnérables sur le réseau pur s’y transférer." précise Michel Lanaspèze, Directeur Marketing et Communication de Sophos France.
Un ver par ailleurs relativement inoffensif puisqu'il ne vole pas d’informations, n’accède pas aux courriels, ni n’espionne les appels téléphoniques.
"Mais son code source a été publié sur Internet, ce qui signifie que d’autres pirates ont la possibilité d’en créer d’autres versions, plus dangereuses." avertit néanmoins Michel Lanaspèze. Une étude récente de Sophos révèle d’ailleurs que 97% des personnes interrogées estime que l’iPhone subira d’autres attaques de virus dans l’avenir.
Comme le soulignent avec malice de nombreux sites internet, le ver est désormais dans le fruit et Apple, longtemps épargné par les concepteurs de virus et autres logiciels malveillant, devra certainement prendre ses responsabilités en renforçant la sécurité de son smartphone vedette.
"Ce ver, dont la diffusion semble pour l’instant se limiter à l’Australie, ne peut s’introduire dans un mobile débridé que si son propriétaire n’a pas modifié le mot de passe par défaut (« alpine ») après avoir activé le SSH (programme d’accès à distance). Une fois installé, le virus tente de trouver d’autres iPhones vulnérables sur le réseau pur s’y transférer." précise Michel Lanaspèze, Directeur Marketing et Communication de Sophos France.
Un ver par ailleurs relativement inoffensif puisqu'il ne vole pas d’informations, n’accède pas aux courriels, ni n’espionne les appels téléphoniques.
"Mais son code source a été publié sur Internet, ce qui signifie que d’autres pirates ont la possibilité d’en créer d’autres versions, plus dangereuses." avertit néanmoins Michel Lanaspèze. Une étude récente de Sophos révèle d’ailleurs que 97% des personnes interrogées estime que l’iPhone subira d’autres attaques de virus dans l’avenir.
Comme le soulignent avec malice de nombreux sites internet, le ver est désormais dans le fruit et Apple, longtemps épargné par les concepteurs de virus et autres logiciels malveillant, devra certainement prendre ses responsabilités en renforçant la sécurité de son smartphone vedette.