Le mystérieux manuel des lunettes intelligentes de Facebook a été récemment publié, nous donnant plus d'informations sur le fonctionnement de l'objet dans la pratique. L'entreprise a lancé son premier prototype l'année dernière et a expliqué que son objectif n'est pas de fournir un produit équivalent à un casque de réalité augmentée, mais de collecter beaucoup de données pour mieux envisager les futurs produits.
Le projet nommé Aria ne sera pas répertorié et n'est actuellement accessible qu'aux employés de Facebook. Les lunettes peuvent être équipées de verres correcteurs, de sorte qu'elles ne présentent aucune information devant les yeux de l'utilisateur.
Le projet nommé Aria ne sera pas répertorié et n'est actuellement accessible qu'aux employés de Facebook. Les lunettes peuvent être équipées de verres correcteurs, de sorte qu'elles ne présentent aucune information devant les yeux de l'utilisateur.
Le nom du matériel est Gemini EVT, un acronyme commun pour désigner de petites fournées de tests d'un produit avant une éventuelle production étendue. Elles sont fournies avec une application pour téléphone baptisée Ariane qui permet de configurer l’appareil et de gérer des paramètres basiques (se connecter au Wi-Fi, gérer la batterie), mais aussi d'envoyer les données collectées par les capteurs.
Les lunettes utilisent 4 caméras pouvant capturer clichés et vidéos simultanément. Le site Protocol explique que ce sont les mêmes composants que ceux que l'on retrouve dans l'Oculus Quest 2. L'interface est plutôt simple : un bouton d'allumage, un pour prendre une photo et un autre pour activer un « mode confidentialité » arrêtant l'enregistrement de données.
Les lunettes embarquent un processeur Qualcomm, des capteurs de proximité et tournent sous Android sans plus de précisions. Elles se rechargent par USB à l'aide d'un port magnétique qui permet aussi d'envoyer des données. Notons que ce manuel a été publié il y a un an (28 août 2020) : il y a donc probablement eu du changement depuis. Facebook travaille à côté sur une version grand public en partenariat avec Ray-Ban, qui se basera sans doute sur les informations récoltées par le projet Aria.
Source : Watchgeneration
Les lunettes utilisent 4 caméras pouvant capturer clichés et vidéos simultanément. Le site Protocol explique que ce sont les mêmes composants que ceux que l'on retrouve dans l'Oculus Quest 2. L'interface est plutôt simple : un bouton d'allumage, un pour prendre une photo et un autre pour activer un « mode confidentialité » arrêtant l'enregistrement de données.
Les lunettes embarquent un processeur Qualcomm, des capteurs de proximité et tournent sous Android sans plus de précisions. Elles se rechargent par USB à l'aide d'un port magnétique qui permet aussi d'envoyer des données. Notons que ce manuel a été publié il y a un an (28 août 2020) : il y a donc probablement eu du changement depuis. Facebook travaille à côté sur une version grand public en partenariat avec Ray-Ban, qui se basera sans doute sur les informations récoltées par le projet Aria.
Source : Watchgeneration